01 octubre 2020

Palavra de Maçom

Ya está a la venta mi último libro "Palavra de Maçom" en su edición en lengua portuguesa, maravillosamente maquetado por "ArteReal Comunicación W&GA". 

Esta obra desea ser un viaje en el tiempo, que humildemente pretende dar un poco más de luz a nuestros orígenes, desarrollo, valores y razón de ser de la Masonería actual, cuya pretensión última no es otra que nuestra mejora individual así como conseguir una sociedad más justa y esclarecida.

En Europa puede adquirirse en en este enlace de amazon.es
Para el continente americano, resulta más apropiado por el tema de facilitar los envíos, hacerlo en la plataforma sita en este otro enlace de amazon.com

Espero que sea de su agrado.


Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro de Honor del Grande Oriente Lusitano
Miembro de Honor del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Miembro de Honor de la Gran Oriente Tradicional de Bolivia
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado (Rite de Cerneau / Thompson-Folger Supreme Council for The United States of America, their Territories and Dependencies)

30 septiembre 2020

Le Pont


«La vie est un pont, traverse le, mais n’y fixe pas ta demeure»
(Sainte Catherine de Sienne)

«Il y a des hommes n'ayant pour mission parmi les autres que de servir d'intermédiaires ; on les franchit comme des ponts, et l'on va plus loin» 
(Gustave Flaubert) 

«Le pont entre la matière et l'esprit : le Verbe»
(Gitta Mallaz)

«Mon Dieu, qu’il y en a des croix sur cette terre, croix de bois, croix de fer, humbles croix familières, de silencieuses croix qui veillent sur le monde …»*, mes SS.·. et mes FF.·. il en va de même des ponts. Certains réunissent, d’autres divisent, il en est des fragiles ou des triomphaux ; des improvisés et des ornementaux ; des archaïques, des pittoresques, des fous ou bien encore mêlant génie et dénuement… Mais pourquoi cette analogie entre le pont et la croix me direz- vous ? Tout simplement parce que dans la croix, se trouve le passage de la terre au ciel, de la même façon que nous le consent le pont entre deux berges.

Le pont est un poème épique, une œuvre individuelle, anonyme et collective, au service de tous et de soi. Le rituel du IIIème Ordre nous parle peu de ce pont. En le synthétisant, voilà ce qu’il nous raconte :

- 1) Nous assistons à la destruction du Temple.

- 2) La libération de Zorobabel intervient.

- 3) La construction, le passage et la bataille du pont.

- 4) Rassemblons ce qui est épars.

- 5) Enfin construisons le temple.

Si nous analysons cette progression, ce cheminement, que voyons nous. La mort, la liberté la renaissance, tout cela sur fond de « luttes intestines » … C’est en fait, ni plus ni moins que notre quête depuis le jour de notre initiation. Pour naître, il faut mourir et pour mourir, il faut d’abord s’éveiller. Cette maxime entêtante, peut paraître saugrenue, elle est pourtant le précis de notre quête.La vie est un perpétuel recommencement. Quand on pense la boucle bouclée, la chose jointée, le pont passé, il faut partir à nouveau, cheminer sans cesse car la spirale est sans fin, pareille à notre faim d’instruction et de transmission.

Le pont est ce lien entre matériel et spirituel. Nous sommes à l’image du Pontife, à la fois pont et constructeur de ce pont. Dans toutes les mythologies, il est présent et c’est certainement dans l’ancienne Iran que sont image était la plus belle. Après sa mort, le défunt devait emprunter un pont qui était d’autant plus large qu’il avait été vertueux… Celui-ci pouvait donc être réduit à un « fil de rasoir » ; Comment cheminer sur un tel pont ? Cette remarque me remémore un jeu, vieux comme le monde, auquel s’adonnaient les « Pharaons Noirs d’Egypte » et que nous connaissons tous : le jeu de l’oie. Il est en ce jeu, une case dite « le pont de l’épée » qui représente une gorge étroite, au fond de laquelle un torrent se fraye avec fureur, un passage entre les rochers et celui-ci est surplombé d’une épée. Un pont qui ne permet ni d’avancer, sans aucun garde-fou le vertige nous presse, la souffrance de la blessure et la mutilation sont évidentes ; ni de reculer, puisque les parois sont abruptes. Le joueur, ne joue plus. Il est là terrassé par le fil de l’épée, vaincu par le vide, battu par le torrent… Il ne peut plus rien faire si ce n’est s’abandonner à Dieu, taire ses passions, devenir humble, originel ; négliger ses envies, omettre ses défenses… Etre Lui et seulement Lui. Face à la dérision de sa propre mort, le seul choix est de l’accepter et c’est là, qu’apparemment vaincu, totalement abandonné à son sort, dépouillé de ses miasmes et de ses certitudes, en proie au doute, qu’il place inconsciemment son destin entre les mains du Maître de la Voie. C’est là son seul tribut, mais quel don de soi, quelle abnégation, quel symbole ? C’est à ce moment là et seulement à cet instant précis, que le jeu peu reprendre ; Regardez le mes SS.·. et mes FF.·., il passe le pont, sans souci du tranchant de la lame, sans attirance aucune pour le vide, sans peur du tumulte des flots ; le Nouvel Homme est déjà sur la rive opposée, il s’est débarrassé de ses breloques et voit celles-ci, sur l’autre rive, gisant aux pieds de sa « vieille dépouille ». C’est la quête de Lancelot du Lac, qui ne voit ses blessures, ne sent pas la douleur, n’entend le fracas de l’eau et ne regarde que la tour et la Reine en son sommet. Nous sommes tous ce joueur que le hasard a placé là, sur cette case du « pont de l’épée », le jour de notre initiation, avec pour seule mission de le passer, de savoir vaincre nos passions, soumettre nos volontés, redevenir pareil à l’origine, au moment du Souffle Divin, beaux et libres, enfants de la lumière, bâtisseurs de Temples en nos cœurs.

Ainsi chacun est Principe, celui là même dont il révèle la Gloire, il est le G.·.A.·.D.·.L'U.·.. C’est quand la lumière éclaire l’image, presque un mirage, à peine une ombre, qu’Il se dévoile, peu à peu à nous et en nous, que l’énigme se fait Verbe et Vérité, qu’éclate alors la transfiguration du Tout dans l’Unité.

* Edith Piaf.

Marc-Antoine Bonnet, Vème Ordre, Gr.·. 9
Suprême Commandeur du Grand Chapitre Général d'Andorre

16 junio 2020

La Masonería como Escuela en tiempos convulsos (de mis conversaciones con Patrick Négrier)

 Cuando en este punto del planeta da la sensación que comienza a ser mejor la situación sanitaria originada por esta devastadora pandemia, al menos estadísticamente, la sociedad (y creo que todas las sociedades europeas) están desgarradas hasta un punto que nunca antes yo había visto. La crisis no es solamente a nivel de salud o social. No hemos tenido, ni siquiera políticamente, la capacidad de unirnos contra la adversidad. Solo el cambio y la evolución individual, con una implicación real con nuestro contexto más cercano, puede dar lugar a no repetir "más de lo mismo". A este respecto he intercambiado pareceres con este magnífico filósofo y amigo cuya calidad masonológica me ha recordado antiguos aspectos abordados, así como expuesto nuevas reflexiones procedimentales. Siempre es infinitamente grato contar con su ejemplo masónico y humano y reflexionar con sus atinadas impresiones. Gracias, Patrick.

Joaquim Villalta, Vº Orden, Gr.·. 9, 33º
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden de la Unión Masónica Universal del Rito Moderno

Querido Joaquim:

La masonería es una buena escuela, pero a veces los masones la practican de manera insuficientemente metódica debido a que a veces no parecen tener en cuenta que hay dos categorías de seres entre ellos y que cada una de estas dos categorías no está llamado a hacer el mismo tipo de trabajo.

Por un lado, hay quienes tienen tiempo libre y educación suficiente para participar en una interpretación metódica y sabia de los símbolos, pero este trabajo moviliza mucha energía, tiempo y dinero.

Y, por otro lado, están aquellos que, teniendo una familia que mantener y un trabajo profesional muy ocupado, realmente no tienen los medios para participar en una exégesis científica y sistemática de los símbolos, y que progresarían más si adivinaran que entre los símbolos masónicos, hay un pequeño número cuya interpretación, fácil, se trata menos de una relación de conocimientos sino en llevar a cabo diversos ejercicios espirituales para practicar, tales como los siguientes:


A)   escribir las impresiones de iniciación (consultar cada momento sus sentimientos e impresiones frente a la vida)
B)   el espejo (autoconocimiento)
C)   el cráneo del gabinete de reflexión (recordando constantemente que moriremos y sacando las consecuencias prácticas)
D)   la letra G, alusión al " Método geométrico ", modelo de racionalidad que en sus “Pensamientos” Pascal llamó" el espíritu de la geometría" (nunca pensar o actuar sin usar la razón)
E)   los cinco sentidos (apegarse exclusivamente a los hechos observados y a los datos de sus experiencias)
F)    el silencio del aprendiz: mantenerse en silencio para escuchar las palabras y los hechos de las personas, así como los eventos de la historia)
G)   el ojo inscrito en el triángulo (permanecer constantemente atento a todo lo que cada día proviene de sí mismo hacia mí afectándome, mirándome, preocupándome y no rechazándolo, censurándolo o negándolo, sino entendiéndolo)
H)   las esferas terrestres y celestiales ("contemplan la totalidad del tiempo y la totalidad de la realidad". ": PLATÓN, República 486 a), y finalmente
 I)   la piedra cúbica con la que el compañero afila sus herramientas (respetando los principios de epistemología, heurística, lógica y dialéctica, que se basa en dos principios: 1. Federar los diversos fenómenos en la forma unitaria de un concepto; 2. Rechazar este concepto en sus diversas especificaciones para evitar sucumbir a la trampa de generalizaciones falsas, indebidas e ilusorias).

Creo que, si ciertos masones practicaran estos ejercicios espirituales propuestos por la francmasonería, rápidamente obtendrían acceso al conocimiento que solo hace posible crecer y derivar de este crecimiento la satisfacción personal que contribuye directamente a la paz social. Solo la verdad y, por lo tanto, el conocimiento puede, debido a sus consecuencias éticas, salvar a la humanidad de todos sus males (mentiras, robos, violencia verbal y física, ya sea privada o pública, incluso a nivel del gobierno de los Estados).

Saludos con toda amistad.

Patrick Négrier

16 mayo 2020

Breve reseña para una gran obra de Víctor Guerra: La Masonería de los “Modernos”. Historia y Ritualidad

 Breve reseña para una gran obra: La Masonería de los “Modernos”. Historia y Ritualidad. Ingaterra y Francia. Siglo XVIII

En ocasiones es preciso reseñar brevemente una obra cuyo valor de su ingente contenido daría como resultado un grotesco resultado si intentáramos perdernos en análisis que no estaría a la altura de su magnitud cualitativa.
Me referiré a esta primera obra masonológica de una proyectada y ambiciosa saga que nos hará viajar por los entresijos más profundos, recónditos y a la vez basales de la masonería de los” Modernos”, del posteriormente denominado Rito francés en función de variopintas alteraciones o condicionantes sociopolíticos y culturales, si bien pudiéramos hablar sin tapujos de toda de la masonería del XVIII continental francés y de sus zancadillas británicas desde 1751, dejando de lado los matices de mayor o menor calado (más menores que mayores en la realidad simbólica en mi humilde opinión).

La Masonería de los “Modernos”. Historia y Ritualidad. Inglaterra y Francia Siglo XVIII, es un poderoso y referencial libro, ya no sólo en lengua española, (versión que tuve el placer y el honor de leer previamente para esta primera edición). El Hermano Víctor Guerra, Presidente del “Círculo de Estudios del Rito Moderno/Rito Francés Roëttiers de Montaleau” va más allá del chauvinismo francés o de la etiqueta británica, porque como buen masonólogo bebe de todas las fuentes, tanto bibliográficas como de las vivencias directas captadas de sus experiencias en distancias cortas, con grandes especialistas, Hermanos de renombre, y protagonistas receptores de aquello tan solo transmitido vivencialmente, en Logia, “boca-oreja” a lo largo de los siglos, fuera del negro sobre blanco del papel, lo que le confiere una visión única, pero consiguiendo un “todo” objetivo y sin parangón, con una metodología de investigación y procedimiento de trabajo que ya quisieran muchos de los denominados académicos para sí. Como masonólogo Víctor Guerra utiliza esa ciencia que le permite divisar no solamente la masonería en su dimensión histórica, sino también en el campo literario, filosófico o sociológico, sin encontrarse maniatado para abordar, llegado al caso, otras dimensiones políticas, judiciales, sicológicas, artísticas, antropológicas o culturales, tantas cuantas le venga en gana en función de sus permanentes descubrimientos e inquietudes, sin sentirse servil a cátedra universitaria alguna por inexistente de manera independiente, en la mayoría de  muchos casos, libre de fuerzas de tensión, muy frecuentemente endogámicas por desgracia en el campo del saber, pretendiendo a lo sumo configurar pequeños grupúsculos inseridos en determinados departamentos historiográficos desconectados de una realidad “auténtica”. Eso hace Víctor, procurar seguir la línea de la “Masonería Autentica”, sin falacias ni fantasías.

Este libro en lengua española está a años luz como compendio de contenidos, análisis comparativos, reflexiones minuciosas, visiones hermenéuticas y demás aspectos sibaríticos, de lo hasta ahora editado también sobre la masonería del Siglo XVIII en otros idiomas, que es mayoritariamente­­­­­ “morralla seguidista”, en ocasiones de poca monta y con el objetivo de contentar a algunos amigos de las “altas esferas” obedienciales.
La independencia y tenacidad de Víctor Guerra hacen que este libro, sea de necesaria tenencia. Esta obra es el “continente” de varias "vidas masónicas" para algunos que, espero, no le suene a mandarín por la precisa y necesaria formación de la que se requiere para degustar y aumentar nuestro conocimiento con la exquisitez que aporta la sabiduría que brota a raudales.

Enhorabuena Víctor.

Prof. Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·.9, 33º
M.·. I.·.

Puede adquirirse en la web de la Editorial Masónica
o por Amazon.es
o por Amazon.com

08 mayo 2020

Reflexionando sobre los “europeo-centrismos”

Aunque nos pase desapercibido a priori, tener a Europa como la fuente y madre original de la Francmasonería Universal conlleva para muchos de los miembros de este continente una actitud de mirarse al ombligo que nos aliena y encierra en una visión parcial, alejada de la realidad, y deforme en definitiva.
La realidad histórica fundacional de la Orden lleva consigo otra muy próxima en el tiempo consistente en la “exportación” de ésta al continente americano. Esta amnesia europeo-céntrica es más acusada todavía si evaluamos la percepción que tenemos de la masonería iberoamericana, la cual, a pesar de su larga tradición y calado, se nos presenta en muchos casos invisible, sobretodo dentro del ámbito de lo que cada día es más discutible denominar masonería adogmática o liberal.
Resulta paradójico constatar como desde el ala tanta veces criticada de la regularidad anglosajona se han dado pasos más decididos que desde la otra visión a priori más universal y abierta.

La prepotencia en ocasiones de determinadas Potencias masónicas liberales y su pretendido abolengo histórico, han terminado en muchos orientes sudamericanos a realizar maniobras relacionales que, lejos de tender a unir y respetar una rica pluralidad de tendencias y vivencias del Arte Real, han acabado por crear pretendidos garantes de exclusividad bajo la excusa de tener el “cuño europeo de calidad”, dejando a su suerte el desarrollo de su implantación, formación y proyección. Ahí, en particular el Rito Moderno o Francés, ha sido material idóneo argumental para venderse como el más “liberal entre los liberales” y por ende, puerta de entrada de ciertos grupúsculos donde una falta de control y desconocimiento de la realidad zonal ha conllevado irregularidades y picarescas de todo tipo e índole.

A propósito de lo anteriormente citado, es destacable el excelente y magnífico artículo publicado en “The Magisterium” que dibuja todo un panorama para rediseñar. También en el Blog Masonería Siglo XXI se reflexionaba sobre un colonialismo trasnochado e inadmisible.
La masonería sudamericana se muestra abierta para el Hermano o Hermana viajero, sólidamente enraizada en su patrimonio cultural fundamentado en la Libertad cuya llama sigue viva en su seno. No obstante debe estarse alerta porque alrededor de las “llegadas trasatlánticas”, todo un juego de inaceptables “nuevos virreinatos” se ha querido montar por parte de algunos jugadores del “Monopoly”, y ahí están desde los que aprovechan la inexacta garantía de que todo lo que viene de Europa es bueno, como de aquellos que en ese río revuelto pretenden legalizar su irregular e ilegítima proyección iniciática.
Pienso que es preciso recalcar que esto se ha dado muy lastimosamente en la última década entorno al Rito Moderno o Francés de habla hispana (Brasil es punto y aparte, y ahí el control, además de una tradición ininterrumpida desde 1822, ha estado absolutamente garantizado). Afortunadamente hoy, aprovechando los sistemas de comunicación, estudio y contraste, se va clarificando el panorama de la Regularidad del Rito Moderno, que pivota, sin duda alguna, sobre el Supremo Consejo del Rito Moderno del Brasil, para todos sus Grados, y son las Potencias Filosóficas de su correspondencia las que además de ser fieles al espíritu Universal inherente a este rito, garantizan su legado ritual e intervienen en una sincera interacción con otros Cuerpos de la región.

El destino y las irrefutables investigaciones masonológicas han querido, para los practicantes de los Órdenes de Sabiduría del Rito Moderno o Francés que admitamos que, aunque les pese a algunos, el legado histórico fundamentado en 1784 sobre el trabajo del Grand Chapitre Général de France solo permaneciera vivo en Sudamérica, y es desde ahí donde precisamente la “Gran” Europa ha reanudado su línea de transmisión solamente asumible creando puentes y no dando la espalda. Está claro que siempre existirá quien quiera ignorar la evidencia, aunque eso es ya “su” problema y la venda cae para muchos otros Hermanos y Hermanas que sí están dispuestos a seguir en la senda de la búsqueda de la Verdad, la transparencia y la legitimidad.

Trabajo publicado por Joaquim Villalta en el Blog Racó de la Lum el 22 de octubre de 2011, obviamente firmado con sus Grados, responsabilidades y cualidades masónicas actualizados a día de hoy, 08 de mayo de 2020.

Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro de Honor del Grande Oriente Lusitano
Gran Canciller para Europa del Gran Oriente Nacional Colombiano
Soberano Gran Inspector General y Miembro Numerario del "Supremo Consejo del Grado 33º y Último del Rito Escocés Antiguo y Aceptado para Andorra"
Miembro de Honor del Gran Oriente Tradicional de Bolivia
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado (Rite de Cerneau / Thompson-Folger Supreme Council for The United States of America, their Territories and Dependencies)