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n notre société, l’apprentissage d’un art, d’une science ou même d’un sport, bref d’un quelconque enseignement, s’échelonne par étapes successives. Passer d’une classe à la suivante reste parfois sanctionné par un examen mais en tout cas, nécessite d’avoir compris et assimilé l’enseignement du degré actuel.
La maîtrise de la connaissance de la matière visée n’est reconnue qu’une fois le parcours terminé en sa dernière étape. Nul ne reconnaitrait comme médecin un étudiant ayant abandonné ses études médicales en seconde année. Ou encore, un pratiquant d’aïkido revêtu d’une ceinture verte aurait peu de crédit s’il se vantait de connaitre parfaitement cet art martial. Nul ne reconnaitrait leur compétence réelle en leur art respectif.
D’un autre point de vue, l’étudiant qui manifeste un réel intérêt pour son art ne limitera certes pas son étude en arrêtant son parcours à mi-chemin, se privant ainsi d’autres connaissances. Nul d’entre nous voulant connaître un roman ne limitera sa lecture prématurément au deuxième chapitre, se privant ainsi de connaître l’épilogue. C’est une évidence, me direz-vous, mais …
Notre société occidentale diffère quelque peu de celle de l’orient mettant parfois prématurément une finalité là où les orientaux y voient un début. Ainsi, si dans les arts martiaux, nous voyons en la ceinture noire un objectif à atteindre, une finalité, une reconnaissance de maîtrise, les orientaux nous rappellent que shodan (premier dan) évoque la qualité de … débutant. [1] Il ressort ainsi que là où nous mettons une finalité – et don une fin à notre recherche – d’autres y mettent au contraire un départ.
Et sur le plan maçonnique …
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otre tradition maçonnique ne devrait pas échapper à cette logique. Elle se révèle également sur plusieurs échelons successifs constituant le parcours initiatique. En notre Rite Français, ce parcours commence avec les trois degrés symboliques et devrait, je dis bien devrait, se poursuivre par les quatre Ordres de Sagesse.
Je rencontre de plus en plus de FF\ et SS\- et qui ont été initiés parfois bien avant moi – ayant arrêté volontairement leurs parcours initiatique au grade de maître-maçon. Cette décision résulte parfois d’un manque de temps ou autres paramètres profanes mais, malheureusement, résulte souvent d’un défaut d’intérêt.
Un maître me déclarait dernièrement que la maîtrise lui accordait tous les droits et prérogatives maçonniques et que dès lors, la suite du parcours devenait inutile. C’est un fait que je ne pouvais certes contester. Aussi, lui répondis-je simplement : « Oui tu as raison pour tes droits mais quid de tes devoirs ? ».
Être franc-maçon reste un savoir-être et non un avoir que l’on ne peut acquérir que par la progression initiatique complète. A ce sujet, mon expérience d’orateur lors de justice maçonnique, m’a montré qu’il était facile de faire la différence entre un juge titulaire de grades supérieurs et un autre par ce savoir-être particulier.
Si je reprends mon exemple du Shodan, le franc-maçon en loge symbolique, qu’il soit apprenti ou compagnon, risque de concevoir la maîtrise comme son objectif à atteindre, une finalité qui mettra en cause la poursuite de sa recherche.
Ce qui véhicule notre tradition en sa
« doctrine » [2],
c’est le rite bien plus que les obédiences et leurs règlements. La préservation
et le respect du rite en sa forme originelle reste pour moi capital et
demeurera toujours ma priorité.
A ce sujet, je reste toujours admiratif du travail réalisé par nos « fondateurs », Montaleau et consorts, pour finaliser ce rite français.
Loge symbolique et Ordre de Sagesse sont en conséquence intimement liés. A titre personnel, je soulignerai que l’éclairage reçu dans les Ordres de Sagesse m’apporta une toute autre vision - et donc compréhension - sur mes cérémonies reçues en loge bleue, particulièrement la maîtrise. Et comme nous le savons, un même symbole peut évoluer en notre acceptation au gré de notre progression initiatique. « Le symbole peut être comparé à un cristal restituant différemment la lumière selon la facette qui la reçoit.[3] » ou encore « On ne peut jamais se flatter d'avoir trouvé le dernier mot d'un symbole. [4] ».
Cela fait plus de trente ans que j’ai reçu la lumière, j’ai parcouru jusqu’à leur finalité le Rite Ecossais Rectifié et le Rite Français, j’ai pratiqué aussi le REAA, le Rite opératif de Salomon et le Rite des Elus-Cohen, j’ai lu multiples ouvrages et vécu des centaines et des centaines de tenues et conseils, bon nombre de FF\ et SS\ voient en moi une référence … et pourtant, je vous avoue en toute humilité que je n’ai qu’une faible perception des rites précités. Je reste et resterai un cherchant. Au terme de ma vie maçonnique, je suis comme Jean GABIN : « Maintenant je sais, je sais qu’on ne sait jamais ! ».
Si je ne me permettrai point de m’immiscer dans le parcours maçonnique personnel de mes FF\ et SS\ leur laissant ainsi la totale liberté d’y mettre terme au degré qu’ils souhaitent, ce sont plutôt les conséquences de leurs décisions qui soulèvent pour le moins mon inquiétude.
Le rite forme un ensemble cohérent au travers de chaque degré qui le compose et qui sont en interrelation. Aussi, une quelconque modification d’un élément peut provoquer un déséquilibre ou une incohérence.
La structure obédientielle actuelle tend de plus en plus à imposer une scission entre les loges symboliques et les ateliers supérieurs. Si cela reste compréhensible sur le plan administratif et organisationnel, cela devient dangereux sur le plan de la cohérence initiatique. Mon ancienne obédience symbolique interdisait d’évoquer l’existence même des grades supérieurs, ce qui est à mes yeux un non-sens initiatique.
On y retrouve donc en leur Commission
des Rituels, des maîtres maçons restés à ce degré et donc dépourvus de la
connaissance du rite en tous ses degrés. Certes, leur compétence ne vise que
les trois grades symbolique mais ils s’accordent ainsi le droit de modifier des
éléments symboliques dont ils ne pourraient comprendre réellement l’importance
ou le sens que bien plus tard, en vivant les ateliers supérieurs. En outre, ils
suppriment ainsi des symboles sur lesquels les Ordres de Sagesse trouvent leur
fondement.
Relégué au second plan, le rite se voit ainsi imposer des modifications dues à des paramètres externes sociétaux voire idéologiques, certes respectables, mais qui dénaturent finalement notre tradition.
Ainsi, par exemple, sous couvert d’une pseudo-tolérance, on a assisté sous l’égide de certains maçons se disant adogmatiques, à la suppression en nos loges, de la bible ouverte au prologue de Jean ou de la référence au GADLU, jugés et condamnés comme relevant de la religion et ceci afin de ne point choquer les FF\ ou SS\ d’autres confessions religieuses ou athées.[5]
Que l’on admette ou non, toute la tradition maçonnique en ses multiples rites fut construite au travers des écrits bibliques et se définit, de ce fait, comme de forme chrétienne. Il y a donc une certaine incohérence à supprimer la mention ALGADLU de nos textes ou la bible mais de conserver Jakin et Boaz, le tableau de Maître en son état ou encore les mots de passe actuels. Cette contradiction déjà visible en loge symbolique devient encore plus évidente lors des IIème et IVème Ordres. Je comprends dès lors que certains d’entre nous, issus de ces loges « adogmatiques » furent quelque peu déstabilisés lors de leur entrée en nos Ordres de Sagesse qu’ils qualifièrent de religieux et non maçonniques, particulièrement le IIème Ordre.
Il est paradoxal de constater que certes animés d’un désir de tolérance [6], ces FF\ et SS \ Maitres, ignorants du rite en sa totalité, provoquent l’inverse de ce qu’ils souhaitent. Ils oublient qu’en nos loge tout est symbole et que le GADLU est un symbole de la Tradition, un signifiant, auquel le maçon accorde le signifié qu’il souhaite selon son acceptation. En supprimant ces symboles, ils suppriment bien entendu leur acceptation primaire profane ou maçonnique, mais ce qui est grave, bien plus grave, c’est qu’ils refusent ou entravent la véritable signification, la Lumière, la Connaissance à nos générations futures à qui notre devoir reste pourtant de transmettre notre tradition qui nous vient du passé et tend vers l’avenir comme le souligne notre chaine d’union.
D’où ma première conclusion empruntée à notre TCF Daniel LIGOU : « le rite français, on l'admet ou on ne l'admet pas, mais il n'est au pouvoir de personne de le changer. » [7]
Loges symboliques et Ordres de Sagesse sont intimement liés.
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e Régime Ecossais Rectifié comporte cette particularité que tant ses loges que celle de Maître Ecossais de St André ou son ordre intérieur appartiennent à une seule et même structure dénommée Ordre. L’interrelation entre ces trois sous-structures reste donc permanente.
Le candidat à l’initiation qui frappe à la porte d’une loge rectifiée sait que le parcours total du rite en ses sept grades lui est ouvert et accessible. Les discours de l’Orateur lors de ses augmentations de salaire, ne sont autant d’invitations à poursuivre le chemin et à accéder à l’Ordre intérieur des CBCS. Même si sa loge ne dispose pas, en suivi, d’ateliers supérieurs propres, elle dispose toujours d’ un rattachement ou d’un traité d’alliance avec un autre ordre permettant à ses membres la poursuite totale du rite. De mon expérience de ce rite, je retiens que les maîtres qui arrêtent leur parcours à ce grade sont excessivement rares et que leur décision résulte alors de paramètres personnels profanes.
Si l’on fait abstraction des paramètres politico-administratifs obédientiels et que l’on privilégie le rite, il ne fera nul doute que loge et ordres de Sagesse constituent un tout indissociable pour le parcours initiatique.
Cette nécessité de vouloir poursuivre l’approfondissement de la connaissance du Rite Français par les Ordres de Sagesse fut ressentie unanimement par les FF\ et SS\ fondateurs de la RL Tradition et Progrès, seule loge belge à travailler au Rite Français de 1786 en mixité. C’est ainsi qu’ils s’investirent sans réserve à l’allumage des feux du SC Le Prince de Ligne, premier SC mixte du Rite Français, puis du SC Les Chevaliers de la Lumière et enfin, à la fondation de notre juridiction. La totalité des MM\ poursuivaient alors le parcours … tel n’est malheureusement plus le cas aujourd’hui où site à divers paramètres, le SC Les Chevaliers de la Lumière, a connu une suspension de ses activités. Il s’en ressort un manque de rigueur dans le respect du rite en la loge bleue.
Considérations externes
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n Belgique, les loges symboliques
travaillant au Rite Français en sa version originelle sont assez rares. Les
rites les plus pratiqués restent le REAA et le rite moderne belge. On le trouve
cependant au sein du Grand Orient de Belgique mais sous des formes plus
actuelles[8]
telles que le rite Groussier, laïcisation oblige.
Et de ce fait, les chapitres
travaillant selon les Ordres de Sagesse sont encore plus rares. [9]
Ces facteurs peuvent naturellement
influencer le maître maçon soucieux de poursuivre son parcours. Il n’est de ce
fait pas rare qu’issu d’une loge symbolique moderne, il s’oriente par facilité
vers les ateliers supérieurs d’un autre rite, soit souvent du REAA.
Cela reste, pour moi, une roue de
secours : nous l’avons vu avec l’Elu Secret, la forme et le contenu
divergent. Mais aussi, les deux rites sont différents : le REAA comporte
en sa finalité un grade de vengeance tandis que le rite moderne se finit par
celui de Souverain Prince Rose Croix, grade d’amour.
Sans foute formé par mon rite de naissance, le RER qui dès le degré d’apprenti prépare celui-ci à l’entrée dans l’Ordre intérieur, je reste persuadé qu’il faut vivre de manière autonome les rites que l’on a choisis et selon le parcours qu’il nous propose.
Je reste à ce sujet assez opposé aux équivalences de grades entre les rites que j’ai toujours refusées pour mon parcours personnel préférant certes revivre une même cérémonies mais bénéficier de sa nature propre et spécifique au rite.
Aussi, pour le maçon français, dans l’impossibilité matérielle de se rattacher à un chapitre, je ne peux que lui conseiller de s’intéresser néanmoins aux Ordre de Sagesse, ne serait-ce que par la lecture des ouvrages et du régulateur. [10]
La richesse des Ordres de Sagesse du Rite Français
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otre rite se charpente sur 7 degrés comme le Rite Ecossais Rectifié d’ailleurs, ce qui reste moins fastidieux que le REAA en 33 degrés ou le rite de MEMPHIS-MISRAÏM en 99 degrés. Cela présente l’avantage que tous les Ordres de Sagesse sont vécus et pratiqués selon ce que je nommerai la méthode maçonnique traditionnelle.
Nos TTCCFF\ Daniel LIGOU [11] et Paul NAUDON [12] ont mis en exergue le fait que chacun de nos Ordres de Sagesse serait, en fait, une fusion de plusieurs degrés du REAA. Si c’est en effet une réalité, ils n’en sont pas pour autant incomplets et ne dénaturent nullement le message initiatique.
Je souligne sur ce point que le Rite Français comporte ses particularités propres et divergentes du REAA. Le Ier Ordre en la mort des assassins d’Hiram en reste le plus bel exemple : Joaben conserve en notre rite la pureté de ses gants blancs, ce qui n’est point le cas au REAA.
Les Ordres de Sagesse se succèdent en apportant une source de connaissances différentes, une facette différente en notre recherche de la Lumière. Il n’est pas utile de vouloir y trouver une ligne de continuité rationnelle entre eux comme on peut la trouver en d’autres rites. Bien que hiérarchisés, ils sont complémentaires et portent sur des contextes, des cadres, différents.
Comme le souligne notre TCF Yves HIVERT-MESSECA [13],
les mythes maçonniques occupent une place centrale dans la franc-maçonnerie.
Issus de textes fondateurs ou de diverses légendes bibliques, ils sont présents
dans tous les rites maçonniques et dans tous les grades en en constituent la
colonne vertébrale. Nous pouvons en distinguer trois principaux :
1. Le mythe de la
construction du temple de Salomon par les tailleurs de pierre, sur lequel se
vivent les degrés d’apprenti et de compagnon ;
2. Le mythe d’Hiram, en relation avec le
premier, et sur lequel se vivent les degrés de la maitrise et du 1er
Ordre ;
3. Le mythe chevaleresque sur lequel se vivent les
3ème et 4ème Ordres.
Si on constate que l’aspect
chevaleresque est commun à tous les rites en leur finalité [14],
pouvons-nous en conclure que le but de la franc-maçonnerie serait de préparer
et de conduire à cette chevalerie ? Si cela se révèle une évidence pour le
Rite Ecossais Rectifié, ce l’est moins pour notre rite français. Telle est cependant
ma conviction personnelle mais à chacun de la partager ou non …
Si on admet ce postulat de but, tous
conviendront que la chevalerie n’est appréhendée et accessible que dans les
Ordres de Sagesse. Se limiter pour un maçon à sa loge symbolique, c’est
renoncer voire se priver de cette évolution chevaleresque, donc finalement de
l’objectif final de sa tradition. N’est-ce point dommage ?
Comme le disait en un article, le premier Suprême Commandeur de notre juridiction, le rite français est laïc et chimiquement pur : nulle trace en nos rituels d’éléments ésotériques, alchimiques, magiques ou autres. De ce fait, il reste ouvert à tout maçon quel que soit sa confession religieuse ou philosophique pour peu que le maçon ait assez de tolérance pour accepter son contexte comme un signifiant qu’il peut dépasser en lui accordant le signifié qui lui convient. Un mythe qu’il soit fondé historiquement ou non, qu’il soit rattaché à une ligne religieuse ou non, ne sert qu’à nous faire découvrir un enseignement, et c’est ce dernier qui est important, non le mythe en lui-même en sa forme.
Un F\ du RER, pasteur protestant, me confiait dernièrement : si le concept « aimez-vous les uns les autres », pilier de la fraternité humaine universelle, te séduit en ton idéal et ta conscience, que t’importe son auteur, qu’il ait ou non réellement existé ou qu’il fut ou non fils de Dieu ? Dépasse ce contexte sujet à conflit et ne retiens que l’enseignement. Multiples conflits maçonniques opposent des FF\sur des signifiants alors qu’ils partagent le même signifié. Qu’importe que le maçon français vive la mort d’Hiram et celui de Memphis celle d’Imhotep, l’important c’est l’enseignement retenu par chacun et qui est identique et unique.
Conclusion
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n jour, vous avez, tel le pèlerin de Compostelle, commencé une belle histoire, votre histoire, celle de la recherche de la Lumière en frappant à la porte du Temple. Nul doute que votre initiation puis votre maîtrise vous apportèrent de grands moments de joie et d’émotion.
Il serait dommage de ne pas connaître
la fin de cette histoire en vous arrêtant après le troisième chapitre ou
d’abandonner celle-ci pour une autre, vous privant ainsi de nouvelles joie et
émotion.
De même, les pèlerins qu’ils marchent
sur Compostelle ou sur Jérusalem, ont finalement le même objectif. Ils ont tous
deux choisi un chemin et il serait stupide, pour l’un comme pour l’autre, d’en
changer pour un autre.
Aussi, permettez-moi de plaider
auprès de vous [15]
pour que vous vous intéressiez et surtout pratiquiez nos Ordres de Sagesse tels
qu’ils sont préconisés au sein de l’UMURm et de notre juridiction. Ils sont le
reflet d’une Tradition, complète et authentique, qui nous fut transmise depuis
le XIXème siècle.
Même si notre rite français peut
paraître simple en regard d’autres rites, je peux vous garantir qu’il demeure
extrêmement riche et que le vécu de ses Ordres de Sagesse vous ouvrira de
multiples portes pour votre parcours initiatique. En les pratiquant, nos
seulement vous enrichirez votre vie en loge symbolique mais aussi celle de vos
FF\ et SS\
La Tradition se véhicule par le rite et se pratique par le rituel.
[1] Nobuyoshi TAMURA, Aîkido (2003)
[2] Un dogme est une
affirmation considérée comme fondamentale, incontestable et intangible par une
autorité politique, philosophique ou religieuse. Une doctrine est un
ensemble global de conceptions d'ordre théorique enseignées comme vraies par un
auteur ou un groupe d'auteurs. Elle a une dimension idéologique. La différence
se situe peut-être surtout en l’opposition des mots affirmation incontestable
et conception idéologique, imposition et proposition.
[3] Raymond de Becker, Les Machinations de la nuit (1965)
[4] Henry de Montherlant, Pasiphaé (préface) (1949),
[5] Il ne s’agit point pour moi de tolérance : je reste opposé à
tout dogmatisme qu’il soit religieux ou laïc et remplacer un dogme par un autre
n’est certes point tolérance.
[6] TCF Antoine DREHER : « La tolérance, c’est une
vertu, tu verras, que le franc-maçon exige de ses frères mais oublie très vite
quand il s’agit de lui. ».
[7] Daniel LIGOU, Réflexions sur le Rite Français.
[8] Voire fortement simplifiées
[9] Seul le GCGMB propose le travail des Ordres de Sagesse en mixité
[10] Régulateur des Chevaliers Maçons ou les quatre ordres supérieurs
[11] Daniel LIGOU, Réflexions sur le Rite Français.
[12] Paul NAUDON, Histoire générale de la franc-maçonnerie
[13] Yves HIVERT-MESSECA, La franc-maçonnerie face à ses
mythes (2017)
[14] Voir à ce sujet, Pierre MOLLIER, La chevalerie maçonnique
[15] … par déformation professionnelle