22 octubre 2023

La date 1783 dans le Rite Français des Modernes

La date 1783 dans le Rite Français des Modernes

Re-bonjour Joaquim

À propos de ta question, voici quelques éléments qui complètent la pseudo discussion si en vogue autour de la date 1783 dans la franc-maçonnerie française et la Régulation sous l’impulsion notamment de Roëttiers de Montaleau.

Les dates sont souvent la meilleure et la pire des choses, comme les statistiques d’ailleurs, au service de la faiblesse de nos connaissances historiques.

Alors 1781, 1783, 1785, 1801 de quoi parle-t-on ?

Au regard des lenteurs et des atermoiements des différentes commissions ou chambres, il semble bien que la rédaction des trois grades fût pratiquement en voie d’achèvement dès avril 1782 et on assiste alors à des transferts ou des relecture sans doute améliorées des rituels.

Mais 1783 semble bien une date charnière qui a connu pas moins de 9 réunions dans lesquelles les trois grades symboliques sont mis en forme :

- La réalisation d’une synthèse du grade d’apprenti entre celui rédigé par les 3 chambres et celui rédigé par le F. Million et Roëttiers de Montaleau est chargé du ce travail

- La présentation du grade de compagnon par Roëttiers de Montaleau

- Et la lecture du grade de Maître interrompue mais rédigée qui se poursuivra en janvier 1784.

Les trois grades seront présentés en février 1784 aux 3 chambres. Ont peut dire que ces 3 grades étaient rédigés dans l’année 1783. Ce qui permet d’écrire que cette rédaction était prête dès 1783. Nous assistons en 1784 à des relectures et des observations sur tous sujets qui avaient déjà été abordés dès 1781. Après amendements et relance les trois rituels sont adoptés par le GO entre juillet et août 1785. Il semble bien que les rituels adoptés le soient pratiquement dans la forme des manuscrits distribués dès 1781 par le GO.

Si on ajoute que la forme imprimée de ces rituels sous le nom de régulateur de 1801 n’a pas été publié à cette date mais probablement une dizaine d’année plus tard, il est difficile d’être péremptoire en matière de chronologie, et cette note comprise évidemment.

De plus on peut considérer qu'une écriture faite n'indique pas une publication réalisée.

Avec un TAF très forte

Jean-Pierre Duhal, 5ème Ordre, Chevallier de la Sagesse, Grade 9 et dernier du Rite Français des Modernes, Souverain Grand Inspecteur Général, 33º du Rite Écossais Ancien et Accepté. Fondateur du Sublime Conseil “Provence et Fidélité”, Membre Fondateur du Ve Ordre et, Passé Très Sage et Parfait Grand Vénérable de la Chambre d’Administration du Grand Chapitre Général du Grand Orient de France. Membre de l’Académie Internationale du Ve Ordre de l’Union Maçonnique Universelle du Rite Moderne.

21 octubre 2023

Reunión mensual efectuada el 21 de octubre de 2023 de la E. V. con la "Respetable Logia Dr. José P. Rizal N° 19"

Reunión mensual efectuada con la "Respetable Logia Dr. José P. Rizal N° 19".
21 de octubre de 2023 E V.

Reunión mensual efectuada el 21 de octubre de 2023 E V. con la "Respetable Logia Dr. José P. Rizal N° 19" de la Gran Logia del Lejano Oriente, Islas Filipinas, cuyo GM es el IPH Bert Pagsibigan 33°, celebrada en el Templo del Pacífico con la presencia de los Soberanos Grandes Inspectores Generales del Supremo Consejo del Grado 33 y Ultimo Rito Escocés Antiguo y Aceptado de las Islas Filipinas, miembro de la International Confederation of Supreme Councils AASR, presidido por el MPSGC Mon Caballero 33º.


                                        




17 octubre 2023

Le Rite Français est une belle histoire écossaise…


Le Rite Français est une belle histoire écossaise…


Il en va des rites maçonniques comme des espèces vivantes, le temps et les circonstances leurs ont permis de se différencier, à tel point que nous avons aujourd’hui, pratiquement oublié qu’ils ont une seule et même origine.

Et pour nos rites, inutile de remonter le temps jusqu’au carbonifère, l’histoire n’est pas aussi ancienne.

Bien sûr, nous avons coutume d’affirmer dans une envolée identitaire et lapidaire, que ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, mais cela ne peut s’adresser qu’aux œuvres de la nature et non à celles de l’homme souvent convaincu de découvrir en permanence le miracle de l’eau tiède.

Ainsi, il est notoire que pour les espèces, le doigt providentiel d’un grand architecte, bien sûr ad libitum, semble avoir joué un rôle important ; mais il serait inexcusable de croire que dans la construction des rites, le doigt de l’homme ne lui a servi qu’a se gratter là où ça le démangeait…

De plus, les frontières artificiellement entretenues entre les différents rites, par d’augustes hiérophantes et néanmoins contractuels devant l’éternité, se voudraient imperméables, les contenus réciproquement incompréhensibles et les adeptes émergeant en permanence d’une animalité autant décriée que le rire, seraient inaptes à la connaissance de rites multiples car trop perturbant pour le frêle esquif que nous portons sur les épaules.

Le tout benoîtement accepté par une cohorte des « aujourd’hui j’ai des plumes, bien plus qu’hier et bien moins que demain » et qui gèrent leur cheminement maçonnique comme une carrière professionnelle, sinon par amour propre.

En mesurant notre ardeur au travail, nous pourrions, peut-être et par faiblesse, accepter l’argument, si des préoccupations de poulailler et de sauvegarde de fond de commerce n’étaient sous jacentes à ces préceptes angéliques.

Alors qu’en est-il ?

A l’étude, la différenciation des pratiques rituelles en maçonnerie, semble presque exclusivement trouver ses origines sinon sa justification dans la mise en place de ce qui est communément appelé aujourd’hui les hauts grades.

Si nous poussons juste un peu la réflexion pour conforter cette thèse, nous pourrions convenir que les trois premiers degrés ne peuvent, malgré quelques différences, justifier la nomenclature ou la dichotomie actuelles et encore moins des impossibilités futures d’assister, à niveaux équivalents, aux cérémonies de réception des différents rites.

D’ailleurs, il n’est jamais venu à l’esprit de quiconque d’interdire à un frère du REAA par exemple, d’assister selon son propre grade bleu à une initiation ou à une élévation à la maîtrise au RFM et pourtant sont-elles strictement identiques ? Autant me direz-vous que le contenu du 18ème du REAA avec le 4ème Ordre du RFM Alors…. Mystère !

Ce qui n’aurait aucun sens dans le bleu, semblerait en prendre dès qu’on franchit la mystérieuse porte des ateliers supérieurs où à bien regarder, je me demande encore ce qui à permis de les nommer ainsi en dehors de toute considération numérique.

Ainsi, telle est la règle on ne peut à niveaux équivalents continuer de faire ce que depuis le premier jour nous avons pris pour habitude de pratique.

A écouter ce concert, hélas trop répandu, cela signifie sûrement que la suite des évènements est impossible à partager car d’essence différente, à moins que d’y appartenir.

Avant de vérifier cette hypothèse convenons ensemble si vous le voulez bien que l’introduction du grade de maître pourrait être à l’origine du désarroi des ouvriers et du désordre intellectuel sur le chantier.

Le grade de maître est considéré par certains historiens, comme le premier des hauts grades. Il semblerait d’après d’autres, que les tout premiers grades post maîtrise étaient en fait une volonté de conforter la maîtrise ou des variantes de la maîtrise, des essais pourrions nous dire.

D’ailleurs, à titre d’anecdote, presque totalement et heureusement oubliée, nous avons échappé à la construction de la tour de Babylone en lieu et place du Temple de Salomon. Je vous laisse deviner les avatars de la suite…Je passe également sur la maçonnerie Noachite, pour éviter le déluge…

On n’a pas été jusqu’à faire tomber Hiram d’un échafaudage, mais presque : ainsi, nous avons frôlé l’accident de travail…

Cette orientation précédente laisse supposer que le troisième grade, dont la légende est commune à tous, est bien la charnière d’un ensemble de développements dont on ne peut dire que tous ceux qui ont été répertoriés, possèdent un contenu sérieux et intéressant.

Nos ancêtres, c’est une évidence, étrangers au métier, dépossédés des règles opératives et de la disparition du concret du chantier, ont largement ouvert la porte non seulement à d’autres sciences dites initiatiques mais aussi et hélas, à leurs propres délires. Il n’y a pas eu des illuminés qu’en Bavière et encore ceux là ne furent pas les pires.

Il suffirait pour s’en convaincre, de lire non seulement ceux tombés dans l’oubli mais également le contenu de certains grades inclus dans des systèmes ayant pignon sur rue.

Ainsi, à partir d’un grade commun encore pétri de l’enseignement des opératifs bien que s’en échappant par l’adjonction du mythe d’Hiram, nous découvrons que les routes des rites s’écartent, même si chacun jure que l’initiation est comme la république : une et indivisible et que son support est universel. A l’instar du Dieu unique que chaque religion dans son dogme, s’approprie de façon exclusive et assaisonne suivant ses propres préférences gustatives.

Mais revenons à notre hypothèse.

Vous m’avez souvent entendu dire depuis quelques années après en avoir étonné quelques uns, irrité d’autres, le béret enfoncé jusqu’aux oreilles, que les hauts grades du Rite Français procèdent du mouvement communément appelé Ecossisme.

Rien dans la lecture et mieux encore dans la pratique ne peut contredire cette évidence si par chance on en possède la connaissance même incomplète.

Tous les systèmes de hauts grades de notre environnement ont les mêmes sources d’inspiration, au delà des touches spécifiques, là aussi tardives et à bien regarder, ces dernières n’en constituent pratiquement jamais une clause d’intérêt majeur ou suffisant.

Dans la continuité de cette réflexion, j’ajoute aujourd’hui, le Rite Français contient dans le développement de ses cinq ordres l’essentiel des rites communément pratiqués, hier comme aujourd’hui, et que nous pourrions résumer à trois remarquables, à savoir : le Rite de Perfection, le Rite en sept grades de la mère loge écossaise de Marseille et enfin le plus tardif, le Rite Ecossais Ancien et Accepté.

En effet, et je passe sur le développement historique que chacun pourra retrouver dans les bonnes bibliothèques, les Ordres du Rite Français ont été codifiés non pour être un système s’ajoutant à d’autres mais pour être la vitrine dans laquelle tous les Francs-Maçons pratiquant dans les différents systèmes en vigueur au XVIII siècle pouvaient se reconnaître et surtout être reçus.

Pour l’anecdote, il n’est pas rare de trouver dans les tableaux de Loge de cette époque des Frères possédant des grades dont le titre signe l’appartenance ou une pratique à des systèmes différents.

Il convenait pour le moins de mettre en place un espace ordonné où tout ce monde pourrait se reconnaître dans une pratique commune.

Mais il ne serait pas honnête de s’en tenir à cette seule approche. Ce serait ignorer que les responsables du Grand Orient de l’époque avait quelques ambitions hégémoniques sur le monde maçonnique en cours d’installation. et que quelques luttes d’influence agitaient déjà les pavés mosaïques, Bref, rien de nouveau ou de pire…

Pour revenir au volet qui paraît le plus intéressant, le règlement du Grand Chapitre Général de France, ancêtre de notre structure actuelle, précise dans son règlement de 1784 (rappelons au passage qu’à cette époque le REAA n’existait pas encore en tant que tel et n’oubliez jamais que la plupart des degrés de l’Ecossisme ont existé avant d’être incorporé dans les structures rituelles actuelles )

« Le G.·.C.·.G.·. renfermera en son sein, autant qu’il sera possible, toutes les connaissances maçonniques.

En conséquences, les grades en partant de ceux qui suivent la maîtrise seront conférés successivement ainsi qu’il va être dit ci- après :

Toutes les formules différentes et multipliées seront classées et rangées suivant le grade dont elles dépendent.

Chaque grade ainsi classé sera connu sous la dénomination d’Ordre. 

Le G.·.C.·.G.·. renfermera toutes ses connaissances dans cinq Ordres.

Le Premier Ordre Elu Secret :

Il comprendra tous les intermédiaires de la maîtrise à l’Elu. L’Elu en sera le complément.

Le Deuxième Ordre Grand Elu Ecossais :

Il comprendra l’Ecossais, tous Ecossais possibles et ce qui est relatif.

Le Troisième Ordre Chevalier d’Orient :

Il comprendra le Chevalier d’Orient et ce qui y a rapport.

Le Quatrième Ordre Souverain Prince Rose-Croix :

Il comprendra le Rose-Croix et ce qui y est relatif.

Le Cinquième Ordre comprendra tous les grades physiques et métaphysiques et tous les systèmes particulièrement ceux adoptés par les associations maçonniques en vigueur. »

Nous voyons bien, par cette définition que l’ensemble du mouvement Ecossais se trouve englobé dans les différents Ordres du Rite Français, Ordres qui ne sont pas à proprement parler des degrés univoques, mais des espaces dans lesquels seront collationnés tout les degrés qui correspondent à un type de grade.

Il convient enfin pour confirmer l’hypothèse de jeter un regard sur le Cinquième Ordre et de comprendre sa définition. Cette réflexion sera brève compte tenu de notre degré.

Pour cela, je vous propose de prendre en considération deux éléments : le premier est historique, le second s’attache aux différentes pratiques connues.

A l’époque, aucun des systèmes actuels n’existait dans sa forme définitive. Il s’agissait donc de faire en sorte que le cinquième Ordre contienne toute forme de degré existant. Ainsi, nous avons eu en mains une description de l’époque du contenu cet ordre contenant plus de quatre-vingt degrés, dont un mémorable, pour la petite histoire, qui s’appelait le bien nommé chevalier de la balance degré que nous pourrions sans conteste réactiver même si à l’époque la connotation argotique n’existait pas…Bref !

Mais plus sérieusement nous pouvons convenir de l’inutilité à rassembler ce que la pratique et le temps ont écarté de nos différents rituels. Et considérer que l’Ecossisme se réduit au maximum à une quarantaine de degrés signifiant toutes classes confondues et en soulignant que certains sont très proches.

Quant aux rituels recensés a son sujet dont certains sont pratiqués, ils apparaissent sensiblement différents et pour la plupart, ils tirent leurs origines de grades de l’Ecossisme dont le Kadosch ou le chevalier du soleil par exemple.

Différentes classes qui semblent avoir exister en son sein. Deux sont immédiatement discernables dans le règlement de l’époque, puisque seule une partie d’entre ses membres étaient ad vitam dans des fonctions précises et cette structure répondait à un numerus clausus, mais c’est une autre histoire.

Pour conclure…

Par la composition et la structure de ses ordres la seule pratique du rite français pourrait en principe permettre une qualification de ses adhérents pour l’ensemble de l’Ecossisme . Il en représente même un aspect moderne.

Il reste cependant à débattre sur le bien fondé et la nécessité de la démultiplication des degrés d’autant que trois enseignements essentiels pourraient représenter l’Ecossisme, et que la considération de l’aspect contemporain de notre démarche pourraient à juste titre nous rappeler au caractère ancestral et unitaire de l’initiation.

Mais nous restons bien d’accord que le sujet de cette planche n’était qu’une matérialisation parmi d’autres, des chemins possibles que cette dernière pouvait emprunter.

Jean-Pierre Duhal, 5ème Ordre, Chevallier de la Sagesse, Grade 9 et dernier du Rite Français des Modernes, Souverain Grand Inspecteur Général, 33º du Rite Écossais Ancien et Accepté. Fondateur du Sublime Conseil “Provence et Fidélité”, Membre Fondateur du Ve Ordre et, Passé Très Sage et Parfait Grand Vénérable de la Chambre d’Administration du Grand Chapitre Général du Grand Orient de France. Membre de l’Académie Internationale du Ve Ordre de l’Union Maçonnique Universelle du Rite Moderne.
 

15 octubre 2023

Nuevas Logias de la "Gran Logia del Lejano Oriente. Islas Filipinas" al sur de Mindanao

La Gran Logia del Lejano Oriente. Islas Filipinas bajo la dirección del Supremo Consejo del Grado 33 y Último del Rito Escocés Antiguo y Aceptado, miembro de la International Confederation of Supreme Councils AASR, otorga unas Patentes de Constitución para la Logia Masónica Mt. Capistrano No. 23 de la Provincia de Bukidnon y para Nueva Vergara Masonic Lodge No. 8 de la ciudad de Davao, ambas de las islas del sur de Mindanao, Filipinas. Enhorabuena.






10 octubre 2023

Recordando emotivamente al I.·. P.·. H.·. Óscar Sierra Sabalza



Hace poco más de cuatro años, concretamente el día 1 de febrero de 2019, que el Gran Oriente Nacional Colombiano sentía con profundo dolor el paso al Oriente eterno de nuestro I.·. P.·. H.·. Óscar Sierra Sabalza, referente de la masonería sudamericana y representante de la tradición iniciática que se remonta a los primordios de la implantación del Rito Escocés Antiguo y Aceptado en nuestro continente cuyas fechas claves son 1824 y 1833, desde el Supremo Consejo implementado por Joseph Cerneau en la Gran Colombia hasta la trasformación del mismo en 1833 en la naciente República de la Nueva Granada. 

Nacido el 28 de junio de 1925, ocupó la Dignidad de Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para Colombia desde 1984 hasta el año 2000, Cuerpo Masónico que ostentaba la Patente física otorgada en 1851 por el Gran Oriente de Francia al Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino fundado en 1833.

En el tiempo en que dirigió los destinos del Supremo Consejo del Grado 33ª para Colombia este Cuerpo Masónico expidió Cartas Patentes:

Gran Logia del Norte de Colombia con sede en la ciudad de Barranquilla
Gran Logia Central con sede en la ciudad de Bogotá
Gran Logia de Los Andes con sede en la ciudad de Bucaramanga
Gran Logia del Eje Cafetero con sede en la ciudad de Pereira
Gran Logia del Pacifico Colombiano con sede en Cali
 
El Querido Hermano Oscar Sierra, Médico Oftalmólogo en el campo profesional, ocupó además la Dignidad de Gran Maestro de la Serenísima Gran Logia Nacional de Colombia, con sede en el Oriente de Cartagena en cuatro periodos consecutivos desde 1974 hasta 1982.

En su última etapa masónica, además de ser un entrañable asesor de incalculable valor, fue Miembro Activo, Emérito y de Honor del Supremo Consejo del Grado 33º del Rito Escocés Antiguo y Aceptado del Gran Oriente Nacional Colombiano, reconstituyendo en su seno regularmente por filiación iniciática el Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino atendiendo a sus principios históricos y auténticos valores originales, mediante una adecuación al Siglo XXI en su membresía, proyección y mixidad masónica, mostrando una grandeza incomparable, determinante y rotunda. Un Ilustre y Poderoso Hermano único e irrepetible cuyo ejemplo muestra el camino a seguir. 

También ostentaba el V Orden de Sabiduría del Sublime Consejo y Gran Capítulo General del Rito Francés del Gran Oriente Nacional Colombiano, aportando su sabiduría y calidad de incalculable valor.

Desde el Gran Oriente Nacional Colombiano recordamos con gratitud el legado del Muy Ilustre Hermano Óscar Sierra Sabalza 33º, Vª Orden, el cual permanecerá inmortal para la Orden Universal y nuestro Supremo Consejo en particular.

Cartagena de Indias a 27 de febrero de 2022 E.·. V.·.

Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario del Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz de Portugal - Gran Capítulo General del Rito Moderno y Francés de Portugal
Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Gran Canciller para Europa del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo de la República del Ecuador
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Miembro del Suprême Conseil du 33e Degré pour la France du Rite Ancien et Accepté (Cerneau's Rite)
Pasado Presidente de la Confederación Internacional de Supremos Consejos del Grado 33º del R.·. E.·. A.·. A.·.
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado (Rite de Cerneau)
Gran Comendador del Soberano Gran Consejo de los Príncipes del Real Secreto para España, Rito de Perfección.