21 noviembre 2024

La notion de Liberté


LA NOTION DE LIBERTÉ

L'ordre, et l'ordre seul, fait en définitive


la liberté. Le désordre fait la servitude.

                                                           Charles Péguy

La liberté Commence où l’ignorance finit.

Victor Hugo


J’ai pris la liberté de vous exposer ce que j’entends justement par : Liberté.

Il en est, qui vous diront, que la liberté c’est faire ce que l’on veut, quand on le veut… D’autres, aimeront à la décliner « frontalière » : « Ma liberté s’arrête là où celle de l’autre commence » … Enfin, il y a l’Ordre. Nous sommes mes FF.·. dans un Ordre, sans pour autant être aux ordres, et nous y sommes venus de notre plein gré, libres ; Libres et de bonnes mœurs, comme le dit notre rituel. Je commence à peine, et l’on s’aperçoit déjà, que s’il est un terme, un mot, un vocable difficile à définir, c’est bien celui de Liberté. Epictecte en disait ceci:  « … Est libre, celui qui vit comme il veut, qu’on ne peut ni contraindre ni empêcher ni forcer, dont les volontés sont sans obstacles, dont les désirs atteignent leur but, dont les aversions ne rencontrent pas l’objet détesté » alors que le petit Robert nous enseigne que c’est l’« état de ce qui ne subit pas de contraintes ». Les hommes auront de tous temps une abstraction toute particulière de ce mot. Où sont les passions vaincues et les volontés soumises dans ces définitions? 

 Avant d’en terminer là avec les interprétations du mot, j’aimerai vous lire ce que dit le Gaudium et spes de la Grandeur de la Liberté : « C’est toujours librement que l'homme se tourne vers le bien. Cette liberté, nos contemporains l'estiment grandement et ils la poursuivent avec ardeur. Et ils ont raison. Souvent cependant ils la chérissent d'une manière qui n'est pas droite, comme la licence de faire n'importe quoi, pourvu que cela plaise, même le mal. Mais la vraie liberté est en l'homme un signe privilégié de l'image divine. Car Dieu a voulu le laisser à son propre conseil pour qu'il puisse de lui-même chercher son Créateur et, en adhérant librement à lui, s'achever ainsi dans une bienheureuse plénitude. La dignité de l'homme exige donc de lui qu'il agisse selon un choix conscient et libre, mû et déterminé par une conviction personnelle et non sous le seul effet de poussées instinctives ou d'une contrainte extérieure. L'homme parvient à cette dignité lorsque, se délivrant de toute servitude des passions, par le choix libre du bien, il marche vers sa destinée et prend soin de s'en procurer réellement les moyens par son ingéniosité ». Cette explication me semble prometteuse et son sens ésotérique fort. Je me suis, en d’autres temps et d’autres lieux, défini comme un homme libre, non parce que j’agis à ma guise, mais bien parce que je me contrains ; Ô certes pas sur tout… malheureusement, mais j’y travaille. La contrainte est l’alliée, la compagne de la liberté. La contrainte est cette partie commune entre l’autre et moi, cette divine communion qui fait que je peux accepter son point de vue de la même façon que lui recevra le mien. De là jaillira la lumière.

Je suis dans le désert. Un chemin file vers l’Est, peut être une oasis, vers la fraîcheur et le repos fiévreux des pays écrasants, ceux qui laissent courir le regard sans fin, comme un lévrier fatal – c'est-à-dire la Mort – Je peux, car ma liberté me l’autorise, tourner le dos au sentier et me perdre, au hasard des étendues Sableuses et harassantes. Je peux aussi guider ma liberté vers une contrainte : suivre le chemin, trouver, au bout de ma quête la source qui étanchera ma soif et me lavera des poussières du voyage. Saint Thomas, se plaisait à dire que l’on est vraiment libre lorsque l’on se fait responsable de tout, être prêt à toujours répondre de soi-même. Avant Saint Thomas, le vieux Talmud de Babylone observait : « Si je ne réponds pas de moi, qui pourra répondre de moi ? Mais si je ne réponds pas de moi, suis-je encore moi ? ». Qu’y a-t-il de plus difficile à dire que : « Ce n’est pas moi ! » Ne pas se reconnaître, ne pas vouloir assumer la paternité de ses actes, ne pas en assurer la filiation par le biais des conséquences qu’ils ont engendré ! Dire « c’est moi, oui, c’est bien moi », naître à sa liberté. Etre Libre. Etre Soi-même. Ce n’est pas simple. C’est même très difficile, dur, éprouvant, pénible et souvent laborieux. Le Zohar, « Le Livre de la Splendeur », avance: "Parmi les oiseaux du Ciel, certains font leur nid à l'extérieur, d'autres à l'intérieur des maisons, comme l'hirondelle qui ne craint pas l'homme. Pourquoi ? Parce qu'on l'appelle "dror" dont la traduction en araméen est "herou", ou liberté. Les hirondelles nichent dans la maison pendant 50 jours après avoir pondu, après chaque oiseau part là où il veut, librement. Ainsi il est écrit dans Lévitique 25/10 : "Vous sanctifierez cette 50ème année, en proclamant, dans le pays, la liberté pour tous ceux qui l'habitent (ouqratem dror baarets) : cette année sera pour vous le Jubilé (yovel hi tihyéh lakhem), où chacun de vous rentrera dans son bien, où chacun retournera à sa famille". La trancription et l’explication qu’en donne le Zohar est la suivante : « La liberté pour tous émane de cette 50ème année, et c'est ainsi que la Torah, qui est issue le 50ème jour (temps écoulé entre Pâque & Pentecôte soit sept semaines), est appelée "liberté". D'ailleurs les tables de la Loi sont gravées "h'arouth", homonyme de "h'érout", liberté. On libère et on se libère de la matière. La Loi du décalogue apporte la Liberté en toute chose, en toute sphère, en tout monde, en toute créature, en Haut comme en Bas… ».

Je citais en préambule la maxime populaire, la formule de genre convenable qui dit que « Ma liberté s’arrête là où celle de l’autre commence » … Ceci voudrait dire que ma liberté est ambulante, à géométrie variable, mitoyenne à celle de l’autre suivant l’humeur, l’envie ou la lassitude à la seule condition qu’elle n’empiète pas chez le voisin … Ce n’est pas çà la Liberté ; cela s’appelle la solitude. Non, la Liberté c’est justement cette sublime zone, douce, qui nous est prodiguée à lui et à moi et dans laquelle l’échange est possible. En fait nos libertés sont communes, consonantes, c’est une perspective de recouvrance, une communion aimante. Là est la Liberté Féconde, la seule possible.

Le Sage disait « ne demande jamais ton chemin à quelqu’un qui le connaît, tu pourrais t’égarer ». Ne suis personne. En revanche suis les traces immémoriales. Va simplement. Aller n’a jamais été suivre. Emprunter une voie n’est pas mettre ses pas dans ceux de celui qui a tracé le chemin, c’est beaucoup mieux que ça : c’est partager le périple avec lui. Rien ne peut être pareil : ni le temps, ni les embûches, ni tes pensées … rien de ce que tu vivras sur cette route ne peut être identique à ce que vécut l’Autre. Le précipice est là, et le vertige t’oppresse, le vide t’attire, l’appréhension te commande presque de reculer alors que l’amblyope, l’aveugle, est passé là sans frissonner, en frôlant la paroi avec ingénuité. Ainsi chacun avance avec son propre fardeau, et les pierres que tu as poussées du pied, un autre les aura enjambées. On chemine avec ses propres tourments. Les pas japonais que tu auras choisis ne seront pas les mêmes que ceux sur lesquels je poserai mes pieds, mais notre but est identique. C’est en cette perception, que la jolie parole de Jean prend tout son sens ésotérique : « La Vérité rend libre ». Dieu rend libre parce qu’il partage, c’est l’amour qui rend libre et non la solitude. Il ne peut y avoir d’amour sans choix et donc sans liberté.

Nous sommes ici, comme je l’ai dit au tout début, de notre plein gré. Pendant la cérémonie de réception, il nous a été proposé à plusieurs reprises de nous retirer, si l’ampleur de la tâche nous paraissait trop importante : Mourir pour mieux renaître ! En fait, l’aphorisme complet est le suivant : Pour naître, il faut mourir et pour mourir, il faut s’éveiller ». Nous pourrions développer cet aphorisme en d’autres grades, mais cet éveil, n’est autre que sa propre libération. Gagner sa liberté, n’est ce pas là ce que nous sommes venus chercher en Loge ? Je vous invite mes FF.·. à parcourir Bernanos qui exprime de façon magnifique « la liberté est une condition de l’amour ». Dans la Genèse, Dieu confit à l’homme l’ensemble de la création visible, il le place donc dès le début sous sa propre sauvegarde. Si cela ne s’appelle pas liberté… comment doit-on le nommer ? Mais le G.·. A.·. D.·. L'U.·. le fait parce qu’il crée l’homme raisonnable, à son image. Il lui confère donc l’initiative et le contrôle de ses actes. Vous allez trouver que je me répète mais nous voyons bien que notre propre contrainte est bien l’alliée indissociable de notre Liberté : Vaincre ses passions… Notre seul credo, ne peut qu’être le choix libre du bien.

Notre liberté aujourd’hui, c’est ici, dans l’athanor de la Loge, qu’elle s’exprime le mieux. Loin des facilités des « prêt-à-penser », du « terrorisme » du politiquement correct, des distillats d’expressions, d’images et d’idées, formatées, prédigérées et ingurgitées. Nous sommes là, pour nous rendre libres aux travers de notre conscience et de notre intelligence, par le travail des vertus. Un vieux Sage chinois avait pour coutume de dire à ses disciples que ses passions et ses désirs étaient semblables aux enfants, plus on leur cède et plus ils deviennent exigeants. Nous sommes leurs esclaves, nous les traînons partout, ils font notre bât, notre fardeau, notre peine. Soyons humble, et œuvrons à notre libération. Nos outils : le Rituel, nos symboles et l’Amour Fraternel.

Avant de conclure, je voudrais vous parler des belles histoires que nous racontent les textes anciens, qui nous ramènent à nos origines. En feuilletant le Manuscrit d’Halliwell, plus connu sous le nom de Regius, il m’est apparu des évidences troublantes. Je vous en cite quelques unes :

Dans son article Quatrième : … « Le Maître fera bien de ne pas prendre un serf comme apprenti … » Le serf au Moyen-Âge, était attaché à une terre, il ne pouvait la quitter… il n’était donc pas libre.

Article Quinzième : … « Envers aucun homme, il (le Maître) ne doit adopter un comportement faux… Ni souffrir qu’ils (que ses compagnons) fassent de faux serments, mais s’inquiéter de leurs âmes par amour… »

Nous pourrions multiplier les exemples dans d’autres références (le Cooke, les Statuts de Bologne, de Strasbourg, de Shaw ou de Ratisbonne), mais tous nous ramèneraient vers notre Rituel et plus particulièrement vers l’instruction.

Je prendrais donc la Liberté, d’encourager nos jeunes FF Apprentis, à ne pas hésiter à se rendre libres. Pour cela leur instruction leur dit qu’ils ont été introduits en loge par trois grands coups qui signifient : « demandez vous recevrez, cherchez vous trouverez, frappez et l’on vous ouvrira ». C’est un très beau message d’encouragement pour aller vers la Liberté.

Enfin, je terminerai en vous disant que la liberté n’a pas de prix ; le meilleur exemple en fut le Christ ; Marc-Aurèle nous dit : « Voici la morale parfaite : vivre chaque jour comme si c'était le dernier ; ne pas s'agiter, ne pas sommeiller, ne pas faire semblant » ; la liberté ne peut donc être simulée.

J’ai dit

Marc-Antoine Bonnet, 33º

TPSGC du Suprême Conseil du 33è degré du Rite Ancien et Accepté pour la Principauté d'Andorre - Rite de Cerneau et Rite Écossais Ancien et Accepté
Ve Ordre, Chevalier de la Sagesse, Gr.·. 9 et dernier du Rite Français ou Moderne
Maître Installé


Bliographie :

Epictète : Pensées et entretiens

Gaudium et spes : « Constitution pastorale sur l’Eglise dans le monde de ce temps » Vatican II (7/12/1965)

Le Zohar : Le Livre de la Splendeur.

P. D. Ouspensky : « Fragments d’un enseignement inconnu » Stock 1947

Jean Ferré : « Histoire de la Franc-maçonnerie par les textes (1248 – 1782) Ed. Du Rocher 2001

Evangile selon Saint-Jean.




07 noviembre 2024

Fundamentos masonológicos sobre la participación femenina en la Masonería

Fundamentos masonológicos sobre la participación femenina en la Masonería

Puede resultar sorprendente plantear este tema en la actualidad, por su aparente evidencia argumental. Aun así, he estimado oportuno hacerlo como trabajo sintético de estudio y conocimiento histórico individual, intentando a la vez que pueda resultar de interés para el resto de Hnas.·., HH.·. o lectores en general.
Nuestro mundo ha experimentado grandes progresos, aunque muchos de ellos se han materializado de manera desigual en diferentes aspectos. Uno de los grandes adelantos sociales y de valores lo representa la teórica conquista por parte de la mujer de la igualdad de derechos cívicos y de oportunidades con los hombres, con todavía numerosas y desgraciadas excepciones por ahora. No siempre fue así. La mujer era tanto o más importante que el hombre en los cultos y creencias antiguos. Esta importancia también adquirió significado en la vida social y comunitaria, hasta llegar a las diversas formas de matriarcado.
En tiempos prehistóricos, la mujer tenía una activa participación en los cultos agrarios de fertilidad. Recordemos el culto a las “Diosas Madres” ya vigente en la etapa “auriñacense” del paleolítico superior (30.000 AC). En la Antigüedad, de Mesopotamia y Egipto, el culto a la diosa Naturaleza pasó a la Europa mediterránea. Durante miles de años la religión del área mediterránea y Europa, desde Anatolia hasta el Próximo Oriente, expresó el culto a la Diosa, metáfora de la naturaleza, y sus ciclos representaron la vida, la muerte y la regeneración. La civilización matriarcal de la Vieja Europa llegó a su máximo esplendor durante el 5º milenio AC. Respecto a los ritos de Iniciación y las formas de sacerdocio, desde los más elementales hasta los culturalmente mejor elaborados, la mujer ocupaba un lugar de preferencia. En el Antiguo Egipto, las mujeres participaban activamente en los Misterios de Isis y Osiris, del mismo modo que en Grecia en los Misterios de Eleusis instituidos por la diosa Deméter. Las invasiones por razones probablemente económicas de los indoeuropeos, no obstante, impusieron una estructura social patriarcal, y un panteón con dioses predominantemente masculinos. Los nuevos soberanos déspotas buscaron el apoyo de Sacerdotes y poetas para dar fundamento religioso a su ideología política que les ayudara a gobernar con normas morales y legitimara sus acciones agresivas y su poder absoluto. Fue así como se efectuó la reforma religiosa, creando y divulgando mitos, usados con la expresa función de propagar la ideología patriarcal. Los nuevos mitos aportaban claves útiles para la existencia, servían para imponer, amparar y mantener una situación de superioridad masculina, modelaban conductas diferenciadas de cada sexo y servían para subordinar, someter y disciplinar a las mujeres, a la vez que para justificar el orden impuesto y asignarle una base moral. Esta justificación religiosa permitía la guerra, como cumplimiento de indicaciones Divinas y, amparándose en la misión grandiosa de extender su religión, pretendía convertir al resto del universo. Antes de aquellas invasiones indoeuropeas, los pueblos del continente no utilizaban armas, vivían en ciudades abiertas y se dedicaban esencialmente a la agricultura, la artesanía y el comercio. Podemos de este modo diferenciar estas anteriores “sociedades solidarias” respecto a las “sociedades de dominación” que se impusieron finalmente. Las invasiones indoeuropeas consolidaron la sumisión de la mujer plasmadas ciertamente en las religiones de Libro Sagrado: el judaísmo, el islam y el cristianismo.

Este conjunto de factores: comportamientos innatos y adquiridos, normas de derecho, usos y costumbres tradicionales y preceptos religiosos erróneos, mantuvieron a la mujer en un grado de inferioridad en relación a al hombre . Muchos de quienes se oponen a la admisión de la mujer en Francmasonería, esgrimen como únicos argumentos, unas veces el de la "Tradición", otras las Constituciones de 1.723, y algunos van mucho más allá recurriendo a teorías antropológicas de nula base científica y de fascistas reminiscencias que ahora me ahorraré comentar. Estas posturas intentan impedir que más del 50% de la Humanidad beba de las mismas fuentes del Conocimiento que los hombres "libres" y nacidos de mujer. Las Constituciones de Anderson (1.723)., salidas de l’imprenta de Willian Hunter, Londres, el año Masónico de 5.723 (1.723 E.·. V.·.), representan unos de los puntos discordantes. Es en su Sección Segunda (Obligaciones de un Francmasón, apartado III), dónde está el origen de lo que todavía hoy continúa sembrando la polémica: "Los candidatos admitidos como miembros de la Logia, deben ser buenos y leales, nacidos libres, de edad madura y discreta, no esclavos, ni mujeres, no inmorales o escandalosos, sino de excelente reputación". Resulta a todas luces incomprensible que una Fraternidad que ha luchado contra toda clase de "dogmas", acabe por "crear" y "mantener” uno, para justificar la no participación de la mujer. Esta postura "dogmática" se fundamenta en un párrafo de un documento producto de la mentalidad de aquellos años y elaborado por hombres de iglesia (no olvidamos la calidad de pastores protestantes de Anderson y Désaguliers), puritanos y con un concepto sobre la inteligencia y aptitudes de la mujer de su época totalmente diferente al nuestro. Anderson excluye a las mujeres, no por una cuestión iniciática o relacionada con la Tradición, sino por un hecho histórico constatable en aquella época: las mujeres vivían y morían bajo la tutela masculina y prácticamente nadie las consideraba libres. Refiriéndonos nuevamente a esta lectura dogmática, resulta curioso, que en el Artículo XXXIX (último de ellos) de los Reglamentos Generales, recopilados por George Payne (Segundo Gran Maestre de la Logia de Londres) el año 1.720 (tres años antes de las Constituciones de Anderson), se diga: "Cada sesión anual de la Gran Logia, tiene poder inherente y autoridad para hacer nuevas reglamentaciones o alterarlas, para el beneficio real de esta antigua Fraternidad".

En los tiempos de la masonería operativa, las mujeres participaban activamente en las fraternidades de los talladores de piedra y de constructores. En efecto - y para sorpresa de muchos -se pueden ver nombres femeninos tanto en las listas de trabajo de las canteras como en las relaciones de asistencia de varias "Logias", nombre con el que se designaba el pequeño local temporal destinado a la administración de las obras de construcción durante el tiempo que estas duraban. El hecho de que la gran mayoría de estas corporaciones estuviera integrada por hombres, no significa que no existieran mujeres que cumplieran estos oficios, puesto que no todas las corporaciones medievales excluían a la mujer.

Para citar un ejemplo, la Guilda (corporación) inglesa de los Carpinteros de Norwich, que data del 1375, a la que también pertenecían los masones de York, recuerda que: “Todos los años, el sábado siguiente a la Ascensión, los Hermanos y Hermanas se reunirán en un lugar determinado para recitar oraciones en honor de la Santa Trinidad, por la paz y la unión del país...” “Si muere algún miembro de la guilda, sus Hermanos y Hermanas habrán de rezar por él ...”

Entre los constructores de Catedrales encontramos el nombre de una mujer, Sabine de Pierrefonds, hija de Hervé de Pierrefonds, más conocido por su nombre germánico Erwin de Steinbach, constructor principal de la Catedral de Estrasburgo en el 1277. Sabine (tal vez fruto de una leyenda fundamentada sobre una realidad social) se dice que fue responsable de tallar el pórtico de esta catedral así como de esculpir algunas de las notables estatuas de Notre Dame de París.También por su condición de Maestra de Obra, formaría Aprendices en su oficio.

La historiadora del arte, Natalie Harris Bluestone, en su libro "Double Vision: Perspectives on Gender and the Visual Arts", aporta datos complementarios:

"La leyenda de Sabina se enraiza en una mala lectura y peor traducción de una inscripción en el pórtico que menciona una tal «Sabina» como donante que ha hecho posible que las esculturas se haya realizado a partir de una roca petra dura o dura (entiéndase «costosa»). «Steinbach» es solo una traducción literal de petra dura pero quizás se arraigue en el deseo de elaborar una leyenda romántica que se agranda alrededor del nombre (este sí documentado) de Erwin. De hecho, el estilo de los retratos seudosabeanos, Ecclesia et Synagogue, indica que se hicieron circa 1225, unos cincuenta años antes de las actividades documentadas de Erwin y bastante antes de su muerte, que, en la leyenda, es la ocasión para insertar la existencia de Sabina".

El mismo libro y en la misma página se afirma:

"No obstante, la verdad inherente de esta leyenda constituye un ejemplo de la tradición medieval occidental: la mujer artesana que aprende su arte del padre artista (o de otro pariente masculino: marido, hermano o tío). En estas circunstancias, la mujer de un miembro de una clase de artesanos tendría acceso a esta formación. Si el artesano varón moría, la hija/esposa/hermana/sobrina podría heredar el trabajo por finalizar y así continuar explotando el taller. Los registros de las guildas de finales de la Edad Media han descrito regularmente a las mujeres como socias de los negocios y se les autoriza, a ellas solamente, a heredar y a proseguir el artesanado o el comercio del difunto marido".

En cualquier caso, Sabina de Steinbach se ha convertido en un símbolo de las mujeres que de forma anónima trabajaron como artesanas en la Edad Media. La periodista e investigadora Sandra Ferrer Valero se refiere a Sabina con estas palabras en una de sus obras:​

"No existen pruebas totalmente concluyentes de la existencia de Sabine y de su papel como maestra constructora, masona y escultora. Pero su historia bien podría haber sido cierta y simboliza a todas las mujeres que trabajaron en la construcción de las catedrales europeas en la Edad Media realizando trabajos aparentemente reservados a los hombres".

Pensamos también en la recepción de las esposas de los Maestros, pues en “las Antiguas Constituciones de los masones francos y aceptados”, tomadas de un manuscrito de una antigüedad de 500 años anterior a ser editado en 1722 por J. Roberts, en la parte del Reglamento de los Aprendices, dice: “No revelaréis los secretos o proyectos de vuestro Maestro o de vuestra Maestra ...”

En los archivos de la Logia de York N° 236, que perteneció a la antigua “Gran Logia de Toda Inglaterra”, existe un manuscrito de 1693 (denominado York Nº 4), dónde podemos leer lo que sigue respecto a una recepción del Siglo XVII: “Uno de los antiguos coge el Libro, y aquel o aquella que debe ser hecho masón, pone las manos sobre el Libro, y le son dadas las instrucciones”. Incluso, la iniciación femenina dentro la francmasonería aceptada se extendió a una soberana, Ana Estuardo, hija de Jacobo II, que reinó sobre Gran Bretaña e Irlanda de 1702 a 1714 .
Si consideramos importante efectuar una búsqueda histórica de los orígenes y parte de la base de inspiración de lo que posteriormente representará la masonería especulativa, necesariamente nos hemos de dirigir a los denominados "Antiguos Deberes" u obligaciones (Old Charges). Estos se componen de un material de aproximadamente ciento veinte documentos manuscritos que han sobrevivido hasta nuestros días, referentes a normas y reglamentos que gobernaban el arte y la ciencia de la construcción antes del surgimiento del sindicalismo moderno. Estos documentos datan de unos trescientos a seiscientos años atrás. El más antiguo conocido es el denominado "Regius" y, según los expertos, fue redactado sobre el 1390; se trata de un extenso poema, de rima arcaica denominada "doggerel verse", que se encuentra en el British Museum. De éste destacamos unos extractos de particular interés:

“Este gran clérigo se llamaba Euclides,
Su nombre era conocido en todo el mundo.
Pero este gran clérigo ordenó
A quien más elevado estaba en este grado,
Que debía de enseñar a los más simples de espíritu
Para ser perfecto en este honrado oficio;
Y así debían instruirse el una al otro,
Y amarse juntos como hermano y hermana.”
También en el Artículo Décimo leemos:
“El décimo artículo sirve para hacer saber,
A todos los del oficio, grandes o modestos,
Que ningún maestro puede a otro suplantar,
Sino estar juntos como hermana y hermano.”
Finalmente en su punto noveno encontramos:
“El noveno punto va dirigido a aquel
Que es el intendente de nuestra sala
Si os encontráis juntos en la cámara
Servíos uno al otro con calmada alegría;
Gentiles compañeros, lo debéis saber,
Cada cual debe ser intendente por turnos,
Semana tras semana, sin lugar a dudas,
Todos a la vez intendentes deben ser,
Para servirse unos a los otras, amablemente,
Como si fueran hermano y hermana;”

Llegados hasta aquí, permitidme efectuar la siguiente reflexión: La aparición “oficial” de la Masonería Moderna o Especulativa (la que substituyó mediante el "Mason Word" escocés y calvinista a la recepción en Logia utilizada en los gremios que seguían los “Old Charges” ingleses que describen el funcionamiento y las obligaciones de las corporaciones de los constructores así como su historia mítica, con la organización de la Gran Logia de Londres supuso una transformación de la tradición masónica anterior. Años más tarde este hecho generó la revuelta de los masones operativos liderados por el H.·. Laurence Dermott, (guerra absurda cuyo único objetivo era elevarse en el poder de devenir el supuesto curador de la “verdadera masonería original, quien constituyó la Gran Logia de los "Antiguos" según las viejas instituciones, si bien su trabajo ritual era sin duda también derivado del Mason Word creado en Kilwinning. Así pues, hablar de los conceptos de regularidad y legitimidad resulta muy claro, pero fácilmente manipulable. La evolución es absolutamente necesaria siempre que se conserve aquello que es "esencial" para determinar el pensamiento masónico, y curiosamente, algunas propuestas concretas que pueden parecer innovadoras ya se aplicaban en la tradición masónica antigua.

Vemos, pues, que el problema generador de división masónica alrededor del concepto “regularidad”, responsable entre otras diferencias, de la no aceptación de la mujer como miembro de nuestra Augusta Orden, se reduce a la clasificación que ciertas Obediencias reservan para otras en función de su origen, Ritos y creencias. Simbólicamente, se aplica este término a los masones que están activos (inscritos en una L.·. y a plomo con sus obligaciones) y de la Logia que, cumpliendo con las condiciones constituyentes, está instalada y reconocida por una Ob.·., quien le otorga una Carta Patente ofreciéndole “legalidad- regularidad” para ejercer su trabajo bajo su jurisdicción. Pese a esto, esta legalidad adquirida obediencialmente, no es condición “sine qua non” para definir su calidad masónica. Recordamos que una Logia Justa y Perfecta disfruta de completa independencia de otra Logia o Gran Logia para desarrollar sus trabajos. ¿Dónde encontramos pues, el “fons et origo” de la esencia masónica?
Ésta probablemente radique en los Landmarks o Antiguos Límites, puesto que son los Principios Generales de Derecho Masónico, normas de derecho no escrito, que cumplen una importantísima tarea fundamentadora, interpretativa, integradora y limitadora. ¿Pero qué son estos landmarks o linderos? Algunos de estos linderos son comunes, otros bastante diferentes dependiendo de quien haya hecho una relación (Mackey, Mac Bride, Pound, Pike, u otros) llegando en algunos casos a encontrarse en total contradicción. Sólo unos pocos linderos de los muchos que aparecen en las numerosas listas coinciden o son muy similares a las Obligaciones contenidas en los antiguos Estatutos de la Cofradía. Los verdaderos Landmarks constituyen reglas rectoras, puntos de partida y de referencia, dónde su observancia permito garantizar la conservación de la esencia masónica siempre y en todas partes. Nos estamos refiriendo entonces a aquellas ideas básicas sobre las que se fundamenta la Institución Masónica, que surgen lógica y racionalmente de aquello que ha sido, es y será la Orden en su propia naturaleza. Vemos en ellos aquellos principios o reglas de gobierno masónico que supuestamente determinan el espíritu de nuestra institución, y que, por provenir de tiempos remotos, se tienen en su mayor parte por inviolables. Dentro de estos linderos se encuentra la masonería, fuera de ellos, no existe. Por lo tanto, ninguna Gran Logia los puede derogar, ignorar, modificar o añadir y tienen como características el ser fundamentales, preexistentes, subordinantes, universales e inmutables. Existen y permanecen sin necesidad de ser enumerados, ni contenidos en un código. Podríamos “atrevernos” a intentar citar algunos que considero como muy evidentes:

La Masonería es una Institución cerrada y permanece a cubierto. El Simbolismo forma parte integrante de la Masonería.
La Logia representa el lugar físico y espiritual de encuentro de los Masones.
La Masonería es defensora de los derechos humanos.
Los Masones son seres humanos libres y de buenas costumbres. La Masonería le opone al dogmatismo, el libre examen, el libre pensamiento y la razón.
La Masonería es ajena como institución a la práctica religiosa.
La Masonería es ajena como institución a la práctica política.
La Masonería es una institución democrática.

Paralelamente, nos aparecen los Antiguos Usos y Costumbres. Éstos también son normas de derecho no escritas, que, sin tener las características de los Landmarks, cumplen una tarea supletoria en el derecho masónico, aunque pueden ser eliminados, sin que se afecte la esencia de la Orden. Los Antiguos Usos y Costumbres no tienen la connotación de principios generales y deben ser estudiados como prácticas reiteradas que se han convertido en costumbres aceptadas y se deben tratar de forma diferente, entre otras razones porque estas no tienen el carácter de esencialidad, inalterabilidad o inmutabilidad. La exigencia de la creencia en el G.·.A.·.D.·.U.·. y la exclusión de la mujer no son reglas esenciales o fundamentales para la Orden Masónica. Resaltamos como curiosidad, que la Gran Logia Unida de Inglaterra los enuncia en un lugar diferente a los Antiguos Límites y de estos Landmarks no ha elaborado ninguna lista que los defina o que ni siquiera los enumere. Los tradicionalmente presentados como Landmarks, como la lista de Mackey y otras similares, suelen ser antiguos Usos o Costumbres, pero no Landmarks o Principios Generales de Derecho Masónico, ya que no reúnen las características antes mencionadas. En este sentido, la creencia en el G.·.A.·.D.·.U.·. y la regla de la exclusión de las mujeres, no son Landmarks sino “Antiguos Usos”. Pueden ser eliminados, sin que se afecte la esencia masónica. De hecho, las Logias europeas principalmente que ya retiraron estas prohibiciones deben sentirse completamente legitimadas sin ningún género de dudas, siendo el problema, más de relaciones internacionales en lo que respeta al reconocimiento por parte de determinadas obediencias abocadas a defender unas posturas intelectual y moralmente insostenibles hoy en día dentro de una sociedad de progreso y libertades. El cambio de parecer de estas últimas se producirá tarde o temprano, y la meta de unión universal francmasónica estará algo más cercana y menos utópica.

Por todo esto, como defensores del ideario francmasónico, reconozcamos y devolvamos los derechos que pertenecen a la mujer tanto por sus cualidades como por justicia universal, y hagamos operativo este sentimiento igualitario para todos los seres humanos en cualquier situación que así lo requiera. Es nuestro deber y responsabilidad.

La Masonería fundamentada en unos valores ético-morales y principios de alcance universal, no puede estancarse cual dogma atemporal en una restricción reglamentaria contra la aceptación femenina que atenta al concepto mismo de dignidad humana, de progreso y atenta a la razón.
Ni siquiera, y volviendo otra vez la mirada hacia la historia (ver trabajos académicos del prestigioso historiador medievalista francés Jean Gimpel y en los Estatutos de Boileau, Paris, del S. XII entre otros muchos) encontramos que fuera negado el acceso en la Mas.·. de Oficio (Operativa) a las mujeres donde estaban también incluidas. Así, del mismo modo en el ámbito especulativo, rápidamente bajo la influencia “Modern” en la Europa continental proliferaron los Trabajos Mixtos (ver los Rituales del Marquis de Gages en los Países Bajos Austriacos y el fenómeno de la sociabilidad en la Ilustración, o en el entorno del propio Conde de Clermont del S. XVIII).

Sólo un giro dogmático traducido en la fusión de 1813 impidió la natural revisión de las fundacionales Constituciones de 1717, abriéndose la tendencia de reconocimiento y recepción de la mujer en las históricas obediencias masónicas continentales Gran Oriente de Bélgica y Gran Oriente de Francia, que hoy día, entre otras muchas, las reconocen y reciben plenamente.

Por fortuna, cada vez más son las OOb.·. y Potencias Filosóficas, sobre todo al abrigo del Rito Francés de los Modernos, que reconocen a la mujer con pleno derecho masónico, respetando también la libertad de Trabajar en Talleres Masculinos, Femeninos y Mixtos.

Hoy nuestra actual masonería, y muy especialmente el Rito Moderno debe recoger el testigo y proseguir con la expansión de los valores inherentes que ostenta, libre de toda discriminación o imposición dogmática en defensa de unas sociedades más justas, libres, laicas y solidarias.

Incluso la iniciación femenina a la masonería aceptada se extendió a una soberana, Ana Estuardo, hija de Jacobo II, que reinó sobre Gran Bretaña e Irlanda de 1702 a 1714.

Para finalizar quiero citar textualmente lo que se ha comentado alrededor del poema “Regius” exponiendo las precisas citas:

- Línea 42: “and love togeder as syster and brothur”(deben amarse como hermano y hermana).

- Línea 204: “but be togeder as systur and brother”(pero estar juntos como hermano y hermana).

- Línea 352: “As thawgh they were syster and brother”(como si fueran hermana y hermano).

Además en el “York Manuscript” nº4, custodiado por la Gran Logia de York aparece la siguiente frase: “…the Elders taking the Booke, hee or shee (sic) that is to be made Mason shall lay their hands thereon, and the charge Shall be given”(…habiendo tomado el Libro de Ancianos, aquel o aquella (sic) que será hecho Masón colocará sus manos sobre el mismo, y el deber será dado).

En el manuscrito “Huddlestone” derivado de la rama de los manuscritos “Colne” aparecen las instrucciones para prestar juramento: “…that He, or She, who is to be made fre…” (Aquél o Aquella, que será hecho libre…).

La masonería de progreso y liberal cumple fielmente tanto con su base operativa como con la transformación en la denominada Especulativa, pues, ya en sus primeras Constituciones, según he expuesto anteriormente, en su sección III, permite la modificación de las mismas anualmente si fuera menester (algo obvio), en un contexto social cuando fueron redactadas donde la mujer padecía una discriminación de derechos, ya superada. Es por ello que su presencia es absolutamente Regular y necesaria en un mundo que desea la justicia el progreso y la igualdad de derechos. Aquellos que se aferran a unos Landmarks inexistentes y arbitrarios, sólo muestran la ignorancia de lo que estos realmente representan.

Otra bibliografía básica de referencia:

Patrick Négrier : Art Royal et Régularité dans la tradition de 1723-1730 (Editions Ivoire-Clair, 2009)
Harry Carr : The Early Msonic Catechisms (Segunda edición, por Quatuor Coronati Lodge, 1975)

Joaquim Villalta, 33º R.E.A.A., V Orden, Gr.·. 9 y Último del Rito Moderno o Francés,
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la V Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario del Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz de Portugal - Gran Capítulo General del Rito Moderno y Francés de Portugal
Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Gran Canciller para Europa del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo de la República del Ecuador
Miembro del Supremo Consejo del Grado 33º y Último del Rito Escocés Antiguo y Aceptado de la Islas Filipinas
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Miembro del Suprême Conseil du 33e Degré pour la France du Rite Ancien et Accepté (Rite de Cerneau et Rite Écosais Ancien et Accepté)
Pasado Presidente de la Confederación Internacional de Supremos Consejos del Grado 33º del R.·. E.·. A.·. A.·.
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado
Gran Comendador del Soberano Gran Consejo de los Príncipes del Real Secreto de España, Rito de Perfección
Masonólogo

03 noviembre 2024

El Quinario

 A L\G\D\G\A\D\U\ 

Libertad, igualdad y fraternidad

El Quinario

He creído necesario complementar la lectura de este trazado con una columna armónica; la existencia terrenal consta de cuatro tiempos –nacimiento, desarrollo, procreación y muerte- con variaciones dadas por el entorno cultural y de forma imperturbable el quinario, marca el ritmo, una caja orquestal o tambor en el trazado musical. Solo una obra coincide con esta visión,” El bolero de Ravel” que consta de cuatro tiempos dentro de un compás; si son cuatro tiempos ¿Qué tiene que ver con el quinario?, no es por su interpretación sino que comienza en un susurro, casi imperceptible y conforme se va desarrollando la obra se vuelve mas rápida, estridente, molesta para algunos y así veo yo el recorrido del C\M\ con poco en su recepción, puede llegar hasta … donde quiera.

Hablar del Quinario es hablar también del concepto Trinario o Trinidad porque al igual que esta, está ligada el número tres, el Quinario lo está al cinco y los dos conceptos están irremisiblemente destinados a la unidad.

Para empezar, la definición del Quinario tiene tres acepciones dentro de la RAE:

1.- Compuesto de cinco elementos, unidades o guarismos.

2.- Moneda romana de plata, que valía cinco ases o medio denario.

3.- Espacio de cinco días que se dedican a la devoción y culto de Dios o sus santos, muy común en la semana santa cristiana romana.

Así mismo, es un sistema de numeración -muy común en la antigüedad- de base cinco, usando los dígitos 0,1,2,3,4 para representar cualquier número, por ejemplo, el 5 se escribe como 10, el número 25 como 100 y el sesenta como 220. Dejo a la curiosidad de cada uno de los presentes el entendimiento de tal sistema. En el siglo XX solo algunas aldeas del África profunda lo seguían utilizando.

Es posible de forma errónea unir el Quinario al número 15 por similitud lingüística, el sistema de numeración en base quince aparece en algunos documentos como Quindenario o pentadecimal.

 Trazar este tema desde mi perspectiva es básicamente un tratado académico, y espero poder aportar algo personal en él, en el paso de la palabra con los diversos comentarios de los HH\ y HHnas\, sabré ha sido satisfecho este interés.

El Quinario está presente en todas las formas de pensamiento, sea iniciático o no, desde los eones de los tiempos la Cábala, el Hermetismo, la Alquimia, el Tarot, las sociedades secretas y/o discretas incluso las diversas religiones actuales lo tienen muy presente, por lo tanto, voy a intentar realizar un pequeño “religare” de conceptos.

El número cinco, está representado por el Hierofante o Sumo Sacerdote, según el tarot de Marsella –posiblemente el más conocido- y dice que representa el conformismo y la ortodoxia. En su posición normal: ceremonias, humildad, bondad, amabilidad, servidumbre, timidez, esclavitud a las propias ideas y en posición invertida: exceso de amabilidad, susceptibilidad, etc...

Hablo del Tarot siempre como herramienta de autoconocimiento y no como medio de adivinación y farándula.

En la versión del tarot masónico de Patricio Díaz Silva la carta cinco indica madurez espiritual, sabiduría y bondad. Patriarca que aconseja y protege a los demás. Se asocia con el aire y simboliza con la espada. Su proyección vital son los pensamientos transcendentes.

 

El M\V\ está entre las dos columnas del templo. Se apoya sobre un báculo con el águila bicéfala y su brazo derecho forma la escuadra, en la mano derecha el compás. Los tres rayos que provienen del G\A\D\U\ simbolizan la penetración de la potencia creadora través del mundo divino, del mundo intelectual y del mundo físico para producir todas las manifestaciones de la vida universal.

La columna de la derecha simboliza: la Ley y la de la izquierda: la esencia del ser, la libertad de obedecer y desobedecer.

El M\V\ está cubierto y tiene delante de él un libro en blanco.

La misma idea del esoterismo, de enseñanza secreta reaparece; más la instrucción es ahora “práctica y oral” no hay necesidad de libros.

Es la quinta letra hebraica (HE)  ה, en el Tarot de los Bohemios, Papus dice:

La hé expresa, jeroglíficamente, la respiración, el aliento. Es por la respiración que se crea y se mantiene la vida, razón por la cual se atribuye a la hé "todo aquello que anima". Mas la vida especializa al individuo diferenciándolo de sus semejantes; de aquí la idea de "ser" atribuida a esta letra. Pero la acción de la vida no se detiene aquí; es también el principio que enlaza el cuerpo material al espíritu divino, del mismo modo el hombre enlaza a Dios con la naturaleza. La vida es como para el hombre (aleph) lo que el hombre es para el Universo, el principio mediador por excelencia. De aquí todas las ideas de "lazo", de reunión de los opuestos, de religión, atribuidos a la hé. Esta letra es simple; corresponde astronómicamente al signo ígneo del carnero

Al comparar las tres explicaciones se nota la similitud de las interpretaciones.

Creo que todos recordamos al Dr. Giménez del Oso, posiblemente el primer contacto que muchos tuvimos con este mundo paralelo, en marzo de 1989 salió el nº 1 de la revista Más Allá, de la cual era director, extraigo unos párrafos del reportaje “La magia de los números”:

El número cinco es el “conflicto”, su aparición indica que las cosas se complican y que de la misma complicación nacerá la solución. Indica igualmente que hay errores que deben ser rectificados; que hay deseos que deben ser sacrificados para poder proseguir con el programa de la persona. Su mensaje podría leerse así: busca el error y al rectificarlo la vida volverá a cobrar valor.

Para Druidas y Esenios el quinario o cinco representaba: inteligencia, fuerza, vida, generación y naturaleza, estas cualidades se reflejan en cada ser humano.

Después de que Pitágoras introdujera este símbolo en sus enseñanzas –antes de ser admitido como estudiante en la escuela pitagórica se debían pasar cinco años en silencio, solo escuchar- los cristianos primitivos lo usaron como emblema de las cinco llagas de Cristo en la crucifixión y su inscripción es bajo la representación del cuerpo humano.

 

Veamos a continuación algunas representaciones del número 5 en cualquier ámbito del pensamiento:

 

  • En la Biblia, el número cinco aparece 318 veces.
  • Las columnas del atrio exterior del Tabernáculo eran de cinco codos de altura, separados por cinco codos de espacio.
  • El cinco, ocupa un lugar preponderante dentro de la tradición judía. La Torá, está compuesta por cinco libros: -Génesis, Éxodo, Levítico, Número y Deuteronomio-
  • Cinco fueron los estigmas que recibió Jesús en la cruz.
  • Para la fe musulmana, son cinco sus obligaciones principales –profesión de fe, oración, limosna, ayuno y peregrinación a la Meca. - y cinco son las veces que hay que rezar dentro del día.
  • En la Pancha o Mahabhuta, o “Los Cinco Grandes Elementos” del Hinduismo son: Tierra, Agua, Fuego, Aire y Éter.
  • Los cuatro fundamentos junto con la quinta esencia forman los cinco tatvas o bhutas, los cinco elementos principales Éter, el espacio, principio que da forma y sentido a la vida. Aire-viento, el principio de la vibración, movimiento y locomoción. Todo está en continuo movimiento. El Fuego, principio de expansión, vehículo de la luz y el calor. Las Aguas, principio de solución, el gusto, y la reproducción.  Tierra, el principio de cohesión y solidez.
  • Cinco piedras lisas fueron escogidas por David cuando el encuentro del gigante enemigo de Israel.
  • Es en el pentágono, de donde se deriva la estrella de cinco puntas., en ella se inscribe la figura humana con brazos extendidos y piernas separadas. Es la cruz, con sus cuatro brazos más la intersección (la rosa).
  • En música es el pentagrama, sustrato del sonido original que produjo la creación, y la nota Sol.
  • El polígono de cinco lados recibe el nombre de pentágono. El pentágono regular tiene algunas propiedades curiosas como ser que la resultante entre la longitud de su diagonal y la longitud de su lado es el número áureo.
  • La representación romana del cinco está dada por la letra –V- la cual resulta ser la letra veintitrés del alfabeto, el cual descompuesto, según la técnica de la numerología, es decir 2 + 3 = 5, nuestro número cuyo significado en esa ciencia  es la unión de lo femenino (2) con lo masculino (3), está a la mitad del camino (1, 2, 3, 4, 6, 7, 8, 9) y es la mitad del número perfecto, el 10, Dispuestos sobre la plancha de trazar, el número 5 aparece en el centro del todo delimitado por el cuadrado que lo obliga a ser soporte del universo y la masonería.
  • Cinco son los puntos propios entre masones y que los permite distinguirse entre los profanos y en su momento se sabrán.

 

En estas afirmaciones ya ha salido la masonería junto al quinario, existen muchas más y como siempre lo dejo a la curiosidad de los presentes, aunque pongo una más:

 

  • En matemáticas el cinco es el tercer número primo, después del tres y antes del siete.

Fijémonos ahora en la formación de la logia comparándolo esta afirmación:

TRES francmasones forman una logia SIMPLE

CINCO francmasones hacen una logia JUSTA

SIETE francmasones la hacen PERFECTA

Como símbolo masónico se encuadra en el roll de estrella quinaria en representación de la Paz y el Amor Fraternal, tomando como base la forma como se encuentra entrelazada.

No se debe confundir con la Estrella Flamígera, ni con el sello de Salomón.

Al mismo tiempo es representativa del cuerpo humano, están marcadas las cinco extremidades del hombre: cabeza, dos brazos y dos piernas; los cinco sentidos: vista, oído, olfato tacto y gusto; los 5 elementos naturales de los seres animados: La Materia, La conciencia o Alma, La inconciencia o Espíritu, la Fuerza y La Vida; por último, en el cuerpo humano se concentran los cinco elementos impuestos por la naturaleza para perpetuar su acción en el mundo: Tierra, Agua, Aire, Fuego y Tiempo.

 

En masonería el Quinario o cinco es el número del C\M\ por todo lo que representan uno y otro, me he releído el Manual del C\M\ para este trazado y el cinco está presente en todo el ritual:

§  En la apertura de los trabajos en logia regular el M\V\ hace CINCO preguntas

§  La edad del C\ es de CINCO años

§  Los golpes misteriosos son CINCO

§  Batería de grado son los CINCO golpes misteriosos

§  En su recepción CINCO son los viajes que realiza el recipiendario, en representación de los cinco años del C\M\ y su aprendizaje en el trabajo al mismo nivel del resto de HH\ y HHnas\ MM\

§  Hay CINCO signos: el vocal, el gutural, el pectoral, el manual y el pedestre.

Para el C\M\ es igualmente importante la letra “G”, leemos en la instrucción de grado:

  • ¿Por qué os hicisteis recibir Compañero?
  • Para conocer la letra” G”, M\V\

Durante el trazado de esta plancha ha llamado mi atención dos importantes conceptos, siempre según mi perspectiva y capacidad:

1º El número cinco y la letra “G” tienen un origen común o similar, no he encontrado una palabra que exprese mejor mi idea. Los números que usamos en la actualidad son de origen arábigo y estos tienen una particularidad y es que tienen tantos ángulos como el número que representan y exactamente igual le pasa a la letra “G” y el número de ángulos que tiene, también son CINCO, por lo tanto, su representación simbólica debe ser similar.


Ángulos/Valor:

1           2              3             4              5             6   

Aunque con algunos fallos de intersección creo que se entiende el concepto.

2º El cinco está en el punto medio del sistema decimal 0,1,2,3,4     6,7,8,9,10 representa el punto de equilibrio, el lugar del conflicto, del error para poder corregirlo, al mismo tiempo pienso en lo que decimos los francmasones: somos el punto en el centro del círculo y ahora visualizo la piedra cúbica en punta el símbolo del compañero visto desde arriba. Os pido que lo visualicen, se ve un punto en el centro de un cuadrado, si inscribimos el cuadrado en un círculo y borramos las aristas ¿qué queda?


Por lo tanto, el número CINCO y el C\M\ representa el conocimiento masónico primordial.

El quinario y el número cinco expresan un valioso simbolismo en un doble aspecto: como emblemas de generación, a la expresión, a la concepción de un nuevo ser, tanto en sentido biológico como intelectual o constructivo.

He de agradecer la cantidad de información de HH\ y HHnas\ van dejando en la red sin cuyas aportaciones no hubiese podido llevar a buen fin la encomienda de mi M\V\

Queda en el tintero la relación del quinario y la proporción divina, así que acabaré esta plancha de la mano de Rafael Alberti

A   LA DIVINA PROPORCIÓN

A ti, maravillosa disciplina,
media, extrema razón de la hermosura,
que claramente acata la clausura
viva en la malla de tu ley divina.

A ti, cárcel feliz de la retina,
áurea sección, celeste cuadratura,
misteriosa fontana de mesura
que el Universo armónico origina.

A ti, mar de los sueños, angulares,
flor de las cinco formas regulares,
dodecaedro azul, arco sonoro.
Luces por alas un compás ardiente.
Tu canto es una esfera transparente.
A ti, divina proporción de oro

 

He dicho

Fernando Merchán Marin, V Orden, Gr\9 y último del Rito Moderno o Francés, Grado 33º R\E\A\A\, M\I\

Gran Secretario del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador.

Ministro de Estado y Gran Orador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Escocés Antiguo y Aceptado.

Miembro del Supremo Consejo del Grado 33º y último del Rito Escocés Antiguo y Aceptado de las Islas Filipinas


13 octubre 2024

Franz Liszt: el genial referente paradigmático del Humanismo y la Religiosidad en la Francmasonería


A lo largo de mi formación como músico y de mi trayectoria como pedagogo y concertista, la figura de Liszt ha sido para mí un referente en todos los terrenos derivados del Arte Musical. En el plano interpretativo, la aportación lisztiana al piano eleva la técnica instrumental a cotas hasta ahora aún no superadas, a la vez que introduce el concepto de recital moderno llegando él mismo a convertirse en un fenómeno de masas sin precedente alguno y probablemente en el más grande virtuoso de todos los tiempos. Como compositor, su extensa y variada obra desarrolla al máximo los principios propios característicos del romanticismo del siglo XIX apuntando innovaciones armónicas y formales introductorias de períodos estéticos posteriores, avanzándose así a su tiempo e influyendo en compositores futuros. Ya rico i famoso, trabajó incansablemente para potenciar y dar a conocer la obra de otros músicos como Wagner o Berlioz, dejando incluso en un segundo término la proyección y difusión de su propia producción. Este altruismo, humanidad y espíritu filantrópico lo desarrolló paralelamente en su faceta como pedagogo - básicamente en Weimar - a través de la formación de varias generaciones de intérpretes mundialmente reconocidos, promotores de las posteriores Escuelas Pianísticas referentes del siglo XX . Es loable el hecho de que nunca cobró un céntimo por sus enseñanzas, como también lo es su lucha infatigable para conseguir una dinámica cultural donde las manifestaciones y sensibilizaciones artísticas pudieran estar al abasto de todas las clases sociales sin distinción, mediante una decidida participación del los poderes públicos a quienes corresponde la responsabilidad de cubrir este derecho ciudadano.
Liszt fue iniciado en la Logia La Unión de Frankfurt el 18 de septiembre de 1841, recibiendo en presencia del futuro emperador Guillermo I, el Segundo Grado el 8 de febrero de 1842 en la Logia de San Joan de la Concordia, a l’Orient de Berlín, donde cuatro días antes había sido nombrado miembro de honor, artista adorado, hermano y hombre querido. Su exaltación al Tercer Grado se produjo en 1870 en la Logia La Unión, al Oriente de Budapest. Franz Liszt fue también miembro de honor de diversas logias, dando numerosos conciertos en muchas de ellas, o en sociedades musicales vinculadas a algunas otras. A partir de 1848 cesó su ritmo de visitas a les logias. Su catolicismo viró hacia el misticismo y en 1861, con un gran proyecto de renovación de la música sacra, se instaló en Roma donde fue nombrado Abad en 1865. Esta época coincidió con el agravamiento del conflicto entre la Iglesia y la Francmasonería, bajo el pontificado de Pío IX. Al inicio de 1870 empezó nuevamente, aunque de manera discreta, a frecuentar las logias, dando en 1881 y 1882 diversos conciertos en San Petersburgo organizados por la Logia La Discreción.

He creído interesante transcribir sus respuestas dadas a las preguntas propuestas el día de su iniciación:
1) ¿Cuál es el destino del Hombre?
El destino del Hombre es aspirar al mayor perfeccionamiento posible en el dominio de la Verdad, de la Bondad y de la Belleza, y por éste – en la medida donde sus débiles límites se lo permitan– acercarse a la semblanza de su Creador.

2) Que espera de la Francmasonería para su espíritu, para su corazón y para su felicidad temporal?
Creo y espero entrar en una corporación de personas buenas y serias que se reúnen trabajando en sabias finalidades y donde su validez ha estado confirmada a lo largo de los tiempos; creo y espero que mi espíritu encontrará de que nutrirse y que en los momentos de desamparo y de peligro veré unas manos fraternales extendidas hacia mí.

3) Que puede esperar la Francmasonería de usted?
La Orden me encontrará constantemente dispuesto en palabras y en actos para tomar parte en todas sus buenas finalidades y unirme a sus venerables trabajos. La Orden, en la profunda sabiduría a la que creo con un temor respetuoso, encontrará en mí, en todo aquello que no vaya en contra de mis opiniones religiosas y políticas, en mi honor y en mi conciencia, un neófito dócil, un miembro obediente.

Anexos:

          Carta de Candidatura de Franz Liszt



Primera Pregunta de Orden


Segunda Pregunta  de Orden


Tercera Pregunta de Orden



Joaquim Villalta, V Orden, Gr.·. 9 y Último del Rito Moderno o Francés, 33º R.E.A.A.
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la V Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario del Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz de Portugal - Gran Capítulo General del Rito Moderno y Francés de Portugal
Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Gran Canciller para Europa del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo de la República del Ecuador
Miembro del Supremo Consejo del Grado 33º y Último del Rito Escocés Antiguo y Aceptado de la Islas Filipinas
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Miembro del Suprême Conseil du 33e Degré pour la France du Rite Ancien et Accepté (Rite de Cerneau et Rite Écosais Ancien et Accepté)
Pasado Presidente de la Confederación Internacional de Supremos Consejos del Grado 33º del R.·. E.·. A.·. A.·.
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Gran Comendador del Soberano Gran Consejo de los Príncipes del Real Secreto de España, Rito de Perfección
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