21 octubre 2023

Reunión mensual efectuada el 21 de octubre de 2023 de la E. V. con la "Respetable Logia Dr. José P. Rizal N° 19"

Reunión mensual efectuada con la "Respetable Logia Dr. José P. Rizal N° 19".
21 de octubre de 2023 E V.

Reunión mensual efectuada el 21 de octubre de 2023 E V. con la "Respetable Logia Dr. José P. Rizal N° 19" de la Gran Logia del Lejano Oriente, Islas Filipinas, cuyo GM es el IPH Bert Pagsibigan 33°, celebrada en el Templo del Pacífico con la presencia de los Soberanos Grandes Inspectores Generales del Supremo Consejo del Grado 33 y Ultimo Rito Escocés Antiguo y Aceptado de las Islas Filipinas, miembro de la International Confederation of Supreme Councils AASR, presidido por el MPSGC Mon Caballero 33º.


                                        




17 octubre 2023

Le Rite Français est une belle histoire écossaise…


Le Rite Français est une belle histoire écossaise…


Il en va des rites maçonniques comme des espèces vivantes, le temps et les circonstances leurs ont permis de se différencier, à tel point que nous avons aujourd’hui, pratiquement oublié qu’ils ont une seule et même origine.

Et pour nos rites, inutile de remonter le temps jusqu’au carbonifère, l’histoire n’est pas aussi ancienne.

Bien sûr, nous avons coutume d’affirmer dans une envolée identitaire et lapidaire, que ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, mais cela ne peut s’adresser qu’aux œuvres de la nature et non à celles de l’homme souvent convaincu de découvrir en permanence le miracle de l’eau tiède.

Ainsi, il est notoire que pour les espèces, le doigt providentiel d’un grand architecte, bien sûr ad libitum, semble avoir joué un rôle important ; mais il serait inexcusable de croire que dans la construction des rites, le doigt de l’homme ne lui a servi qu’a se gratter là où ça le démangeait…

De plus, les frontières artificiellement entretenues entre les différents rites, par d’augustes hiérophantes et néanmoins contractuels devant l’éternité, se voudraient imperméables, les contenus réciproquement incompréhensibles et les adeptes émergeant en permanence d’une animalité autant décriée que le rire, seraient inaptes à la connaissance de rites multiples car trop perturbant pour le frêle esquif que nous portons sur les épaules.

Le tout benoîtement accepté par une cohorte des « aujourd’hui j’ai des plumes, bien plus qu’hier et bien moins que demain » et qui gèrent leur cheminement maçonnique comme une carrière professionnelle, sinon par amour propre.

En mesurant notre ardeur au travail, nous pourrions, peut-être et par faiblesse, accepter l’argument, si des préoccupations de poulailler et de sauvegarde de fond de commerce n’étaient sous jacentes à ces préceptes angéliques.

Alors qu’en est-il ?

A l’étude, la différenciation des pratiques rituelles en maçonnerie, semble presque exclusivement trouver ses origines sinon sa justification dans la mise en place de ce qui est communément appelé aujourd’hui les hauts grades.

Si nous poussons juste un peu la réflexion pour conforter cette thèse, nous pourrions convenir que les trois premiers degrés ne peuvent, malgré quelques différences, justifier la nomenclature ou la dichotomie actuelles et encore moins des impossibilités futures d’assister, à niveaux équivalents, aux cérémonies de réception des différents rites.

D’ailleurs, il n’est jamais venu à l’esprit de quiconque d’interdire à un frère du REAA par exemple, d’assister selon son propre grade bleu à une initiation ou à une élévation à la maîtrise au RFM et pourtant sont-elles strictement identiques ? Autant me direz-vous que le contenu du 18ème du REAA avec le 4ème Ordre du RFM Alors…. Mystère !

Ce qui n’aurait aucun sens dans le bleu, semblerait en prendre dès qu’on franchit la mystérieuse porte des ateliers supérieurs où à bien regarder, je me demande encore ce qui à permis de les nommer ainsi en dehors de toute considération numérique.

Ainsi, telle est la règle on ne peut à niveaux équivalents continuer de faire ce que depuis le premier jour nous avons pris pour habitude de pratique.

A écouter ce concert, hélas trop répandu, cela signifie sûrement que la suite des évènements est impossible à partager car d’essence différente, à moins que d’y appartenir.

Avant de vérifier cette hypothèse convenons ensemble si vous le voulez bien que l’introduction du grade de maître pourrait être à l’origine du désarroi des ouvriers et du désordre intellectuel sur le chantier.

Le grade de maître est considéré par certains historiens, comme le premier des hauts grades. Il semblerait d’après d’autres, que les tout premiers grades post maîtrise étaient en fait une volonté de conforter la maîtrise ou des variantes de la maîtrise, des essais pourrions nous dire.

D’ailleurs, à titre d’anecdote, presque totalement et heureusement oubliée, nous avons échappé à la construction de la tour de Babylone en lieu et place du Temple de Salomon. Je vous laisse deviner les avatars de la suite…Je passe également sur la maçonnerie Noachite, pour éviter le déluge…

On n’a pas été jusqu’à faire tomber Hiram d’un échafaudage, mais presque : ainsi, nous avons frôlé l’accident de travail…

Cette orientation précédente laisse supposer que le troisième grade, dont la légende est commune à tous, est bien la charnière d’un ensemble de développements dont on ne peut dire que tous ceux qui ont été répertoriés, possèdent un contenu sérieux et intéressant.

Nos ancêtres, c’est une évidence, étrangers au métier, dépossédés des règles opératives et de la disparition du concret du chantier, ont largement ouvert la porte non seulement à d’autres sciences dites initiatiques mais aussi et hélas, à leurs propres délires. Il n’y a pas eu des illuminés qu’en Bavière et encore ceux là ne furent pas les pires.

Il suffirait pour s’en convaincre, de lire non seulement ceux tombés dans l’oubli mais également le contenu de certains grades inclus dans des systèmes ayant pignon sur rue.

Ainsi, à partir d’un grade commun encore pétri de l’enseignement des opératifs bien que s’en échappant par l’adjonction du mythe d’Hiram, nous découvrons que les routes des rites s’écartent, même si chacun jure que l’initiation est comme la république : une et indivisible et que son support est universel. A l’instar du Dieu unique que chaque religion dans son dogme, s’approprie de façon exclusive et assaisonne suivant ses propres préférences gustatives.

Mais revenons à notre hypothèse.

Vous m’avez souvent entendu dire depuis quelques années après en avoir étonné quelques uns, irrité d’autres, le béret enfoncé jusqu’aux oreilles, que les hauts grades du Rite Français procèdent du mouvement communément appelé Ecossisme.

Rien dans la lecture et mieux encore dans la pratique ne peut contredire cette évidence si par chance on en possède la connaissance même incomplète.

Tous les systèmes de hauts grades de notre environnement ont les mêmes sources d’inspiration, au delà des touches spécifiques, là aussi tardives et à bien regarder, ces dernières n’en constituent pratiquement jamais une clause d’intérêt majeur ou suffisant.

Dans la continuité de cette réflexion, j’ajoute aujourd’hui, le Rite Français contient dans le développement de ses cinq ordres l’essentiel des rites communément pratiqués, hier comme aujourd’hui, et que nous pourrions résumer à trois remarquables, à savoir : le Rite de Perfection, le Rite en sept grades de la mère loge écossaise de Marseille et enfin le plus tardif, le Rite Ecossais Ancien et Accepté.

En effet, et je passe sur le développement historique que chacun pourra retrouver dans les bonnes bibliothèques, les Ordres du Rite Français ont été codifiés non pour être un système s’ajoutant à d’autres mais pour être la vitrine dans laquelle tous les Francs-Maçons pratiquant dans les différents systèmes en vigueur au XVIII siècle pouvaient se reconnaître et surtout être reçus.

Pour l’anecdote, il n’est pas rare de trouver dans les tableaux de Loge de cette époque des Frères possédant des grades dont le titre signe l’appartenance ou une pratique à des systèmes différents.

Il convenait pour le moins de mettre en place un espace ordonné où tout ce monde pourrait se reconnaître dans une pratique commune.

Mais il ne serait pas honnête de s’en tenir à cette seule approche. Ce serait ignorer que les responsables du Grand Orient de l’époque avait quelques ambitions hégémoniques sur le monde maçonnique en cours d’installation. et que quelques luttes d’influence agitaient déjà les pavés mosaïques, Bref, rien de nouveau ou de pire…

Pour revenir au volet qui paraît le plus intéressant, le règlement du Grand Chapitre Général de France, ancêtre de notre structure actuelle, précise dans son règlement de 1784 (rappelons au passage qu’à cette époque le REAA n’existait pas encore en tant que tel et n’oubliez jamais que la plupart des degrés de l’Ecossisme ont existé avant d’être incorporé dans les structures rituelles actuelles )

« Le G.·.C.·.G.·. renfermera en son sein, autant qu’il sera possible, toutes les connaissances maçonniques.

En conséquences, les grades en partant de ceux qui suivent la maîtrise seront conférés successivement ainsi qu’il va être dit ci- après :

Toutes les formules différentes et multipliées seront classées et rangées suivant le grade dont elles dépendent.

Chaque grade ainsi classé sera connu sous la dénomination d’Ordre. 

Le G.·.C.·.G.·. renfermera toutes ses connaissances dans cinq Ordres.

Le Premier Ordre Elu Secret :

Il comprendra tous les intermédiaires de la maîtrise à l’Elu. L’Elu en sera le complément.

Le Deuxième Ordre Grand Elu Ecossais :

Il comprendra l’Ecossais, tous Ecossais possibles et ce qui est relatif.

Le Troisième Ordre Chevalier d’Orient :

Il comprendra le Chevalier d’Orient et ce qui y a rapport.

Le Quatrième Ordre Souverain Prince Rose-Croix :

Il comprendra le Rose-Croix et ce qui y est relatif.

Le Cinquième Ordre comprendra tous les grades physiques et métaphysiques et tous les systèmes particulièrement ceux adoptés par les associations maçonniques en vigueur. »

Nous voyons bien, par cette définition que l’ensemble du mouvement Ecossais se trouve englobé dans les différents Ordres du Rite Français, Ordres qui ne sont pas à proprement parler des degrés univoques, mais des espaces dans lesquels seront collationnés tout les degrés qui correspondent à un type de grade.

Il convient enfin pour confirmer l’hypothèse de jeter un regard sur le Cinquième Ordre et de comprendre sa définition. Cette réflexion sera brève compte tenu de notre degré.

Pour cela, je vous propose de prendre en considération deux éléments : le premier est historique, le second s’attache aux différentes pratiques connues.

A l’époque, aucun des systèmes actuels n’existait dans sa forme définitive. Il s’agissait donc de faire en sorte que le cinquième Ordre contienne toute forme de degré existant. Ainsi, nous avons eu en mains une description de l’époque du contenu cet ordre contenant plus de quatre-vingt degrés, dont un mémorable, pour la petite histoire, qui s’appelait le bien nommé chevalier de la balance degré que nous pourrions sans conteste réactiver même si à l’époque la connotation argotique n’existait pas…Bref !

Mais plus sérieusement nous pouvons convenir de l’inutilité à rassembler ce que la pratique et le temps ont écarté de nos différents rituels. Et considérer que l’Ecossisme se réduit au maximum à une quarantaine de degrés signifiant toutes classes confondues et en soulignant que certains sont très proches.

Quant aux rituels recensés a son sujet dont certains sont pratiqués, ils apparaissent sensiblement différents et pour la plupart, ils tirent leurs origines de grades de l’Ecossisme dont le Kadosch ou le chevalier du soleil par exemple.

Différentes classes qui semblent avoir exister en son sein. Deux sont immédiatement discernables dans le règlement de l’époque, puisque seule une partie d’entre ses membres étaient ad vitam dans des fonctions précises et cette structure répondait à un numerus clausus, mais c’est une autre histoire.

Pour conclure…

Par la composition et la structure de ses ordres la seule pratique du rite français pourrait en principe permettre une qualification de ses adhérents pour l’ensemble de l’Ecossisme . Il en représente même un aspect moderne.

Il reste cependant à débattre sur le bien fondé et la nécessité de la démultiplication des degrés d’autant que trois enseignements essentiels pourraient représenter l’Ecossisme, et que la considération de l’aspect contemporain de notre démarche pourraient à juste titre nous rappeler au caractère ancestral et unitaire de l’initiation.

Mais nous restons bien d’accord que le sujet de cette planche n’était qu’une matérialisation parmi d’autres, des chemins possibles que cette dernière pouvait emprunter.

Jean-Pierre Duhal, 5ème Ordre, Chevallier de la Sagesse, Grade 9 et dernier du Rite Français des Modernes, Souverain Grand Inspecteur Général, 33º du Rite Écossais Ancien et Accepté. Fondateur du Sublime Conseil “Provence et Fidélité”, Membre Fondateur du Ve Ordre et, Passé Très Sage et Parfait Grand Vénérable de la Chambre d’Administration du Grand Chapitre Général du Grand Orient de France. Membre de l’Académie Internationale du Ve Ordre de l’Union Maçonnique Universelle du Rite Moderne.
 

15 octubre 2023

Nuevas Logias de la "Gran Logia del Lejano Oriente. Islas Filipinas" al sur de Mindanao

La Gran Logia del Lejano Oriente. Islas Filipinas bajo la dirección del Supremo Consejo del Grado 33 y Último del Rito Escocés Antiguo y Aceptado, miembro de la International Confederation of Supreme Councils AASR, otorga unas Patentes de Constitución para la Logia Masónica Mt. Capistrano No. 23 de la Provincia de Bukidnon y para Nueva Vergara Masonic Lodge No. 8 de la ciudad de Davao, ambas de las islas del sur de Mindanao, Filipinas. Enhorabuena.






10 octubre 2023

Recordando emotivamente al I.·. P.·. H.·. Óscar Sierra Sabalza



Hace poco más de cuatro años, concretamente el día 1 de febrero de 2019, que el Gran Oriente Nacional Colombiano sentía con profundo dolor el paso al Oriente eterno de nuestro I.·. P.·. H.·. Óscar Sierra Sabalza, referente de la masonería sudamericana y representante de la tradición iniciática que se remonta a los primordios de la implantación del Rito Escocés Antiguo y Aceptado en nuestro continente cuyas fechas claves son 1824 y 1833, desde el Supremo Consejo implementado por Joseph Cerneau en la Gran Colombia hasta la trasformación del mismo en 1833 en la naciente República de la Nueva Granada. 

Nacido el 28 de junio de 1925, ocupó la Dignidad de Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para Colombia desde 1984 hasta el año 2000, Cuerpo Masónico que ostentaba la Patente física otorgada en 1851 por el Gran Oriente de Francia al Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino fundado en 1833.

En el tiempo en que dirigió los destinos del Supremo Consejo del Grado 33ª para Colombia este Cuerpo Masónico expidió Cartas Patentes:

Gran Logia del Norte de Colombia con sede en la ciudad de Barranquilla
Gran Logia Central con sede en la ciudad de Bogotá
Gran Logia de Los Andes con sede en la ciudad de Bucaramanga
Gran Logia del Eje Cafetero con sede en la ciudad de Pereira
Gran Logia del Pacifico Colombiano con sede en Cali
 
El Querido Hermano Oscar Sierra, Médico Oftalmólogo en el campo profesional, ocupó además la Dignidad de Gran Maestro de la Serenísima Gran Logia Nacional de Colombia, con sede en el Oriente de Cartagena en cuatro periodos consecutivos desde 1974 hasta 1982.

En su última etapa masónica, además de ser un entrañable asesor de incalculable valor, fue Miembro Activo, Emérito y de Honor del Supremo Consejo del Grado 33º del Rito Escocés Antiguo y Aceptado del Gran Oriente Nacional Colombiano, reconstituyendo en su seno regularmente por filiación iniciática el Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino atendiendo a sus principios históricos y auténticos valores originales, mediante una adecuación al Siglo XXI en su membresía, proyección y mixidad masónica, mostrando una grandeza incomparable, determinante y rotunda. Un Ilustre y Poderoso Hermano único e irrepetible cuyo ejemplo muestra el camino a seguir. 

También ostentaba el V Orden de Sabiduría del Sublime Consejo y Gran Capítulo General del Rito Francés del Gran Oriente Nacional Colombiano, aportando su sabiduría y calidad de incalculable valor.

Desde el Gran Oriente Nacional Colombiano recordamos con gratitud el legado del Muy Ilustre Hermano Óscar Sierra Sabalza 33º, Vª Orden, el cual permanecerá inmortal para la Orden Universal y nuestro Supremo Consejo en particular.

Cartagena de Indias a 27 de febrero de 2022 E.·. V.·.

Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario del Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz de Portugal - Gran Capítulo General del Rito Moderno y Francés de Portugal
Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Gran Canciller para Europa del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo de la República del Ecuador
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Miembro del Suprême Conseil du 33e Degré pour la France du Rite Ancien et Accepté (Cerneau's Rite)
Pasado Presidente de la Confederación Internacional de Supremos Consejos del Grado 33º del R.·. E.·. A.·. A.·.
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado (Rite de Cerneau)
Gran Comendador del Soberano Gran Consejo de los Príncipes del Real Secreto para España, Rito de Perfección.


09 octubre 2023

Petit abrégé de l’histoire de la Franc-Maçonnerie en Suisse


La Franc-Maçonnerie est une fraternité initiatique ayant comme buts le développement moral de ses membres et la pratique des principes humanitaires. La Franc-Maçonnerie moderne a vu le jour en Angleterre, avec la création par quatre loges de la Grande Loge de Londres le 24 juin 1717. Elle se rattache aux confréries médiévales de métiers libres ou « francs ». La cellule de base de la Franc-Maçonnerie est la loge, composée d’un nombre minimum de sept membres, auxquels sont successivement conférés trois grades symboliques (Apprenti, Compagnon, Maître) au cours de cérémonies rituelles. Les loges sont dites « de saint Jean » en souvenir de saint Jean-Baptiste, qui au Moyen-Age était le patron des confréries des tailleurs de pierre.

Petit abrégé de l’histoire de la Franc-Maçonnerie en Suisse*

Dès la fin du XVIIIe s., se sont aussi développées des loges dites de « hauts grades » (Rite Ecossais Ancien Accepté, Régime Ecossais Rectifié, Rite de Memphis-Misraïm, etc.), qui ont multiplié le nombre de grades. Il ne s’agit pas de Franc-Maçonnerie à proprement parler, puisque leur symbolisme ne se rattache pas à l’art de la construction. On n’en tiendra donc compte que dans la mesure où leur histoire est liée à celle de la Franc-Maçonnerie symbolique des trois premiers grades (dits « bleus »), dont l’évolution reflète la complexité et la diversité de la Suisse, et en suit les clivages linguistiques.

XVIIIe s.

La première loge maçonnique, La Société Libre du Parfait Contentement, fut fondée à Genève par lord Georges Hamilton en 1736. République indépendante, mais alliée des Suisses, Genève entretenait des liens commerciaux privilégiés avec l’Angleterre. En 1737 la Grande Loge de Londres accorde à lord Hamilton le titre de « Grand Maître Provincial auprès des Loges de Genève », ce qui signifie que ces dernières obtenaient d’elle leurs patentes. Le Gouvernement genevois interdit alors à ses citoyens d’adhérer aux loges, qui échappaient à son contrôle, admettaient des étrangers et dépendaient d’une autorité étrangère. La Franc-Maçonnerie étant à la mode, cette interdiction ne découragea pas les Genevois et en 1744 on compte à Genève 6 loges, dont une mixte (réunissant hommes et femmes) sous le nom quelque peu libertin de La Parfaite Félicité. 

La plus ancienne loge de Suisse encore active aujourd’hui, L’Union des Cœurs, fut fondée à Genève en 1768. La Grande Loge Nationale de Genève, fondée le 24. 6. 1773 par neuf loges genevoises, marque le détachement de l’influence anglaise et le rapprochement à la France. Elle comptait 17 loges lorsqu’elle dut cesser ses activités suite à l’interdiction des « cercles et coteries » par le Gouvernement aristocratique, après l’écrasement de la révolution genevoise de 1782. Ayant pris le nom de Grand Orient National de Genève, la Franc-Maçonnerie genevoise continue ses activités en secret jusqu’en 1789. Ses bons rapports avec la France ne l’empêchent pas de garder des liens avec l’Angleterre et le 5. 8. 1789 la loge genevoise L’Union initie le prince Edward, duc de Kent, fils du roi George III et futur Grand Maître de la Franc-Maçonnerie anglaise. 

Lorsqu’en 1798 Genève est annexée par la France, ses loges sont en relation avec des loges françaises, mais aussi d’Angleterre, Allemagne, Brunswick-Hanovre, Pays-Bas et des Deux-Siciles. Une Grande Loge Provinciale de Genève est créée en 1801, nominalement indépendante mais en fait aux ordres du Grand Orient de France. Ce dernier fonde aussi quelques loges rattachées directement à lui, qui initient surtout des officiers et soldats de garnison, mais aussi des Genevois partisans des idées nouvelles. De ces loges, la Fraternité, fondée en 1799, et L’Etoile du Léman, fondée en 1807, sont encore en activité aujourd’hui et toujours rattachées au Grand Orient de France. En 1801 Genève compte 18 loges, dont 7 appartiennent à l’ancien Grand Orient National et 11 à la nouvelle Grande Loge Provinciale, avec env. 200 membres au total, pour une population de 25’000 habitants. 

Le Pays de Vaud voit sa première loge fondée à Lausanne en 1739. Son nom, La Parfaite Union des Etrangers, montre bien qu’aucun Vaudois n’en faisait partie. Avec d’autres loges vaudoises, elle fonde le Grand Orient National pour la Suisse Romande, reconnu par l’Angleterre. En dépit de l’interdiction de la Franc-Maçonnerie par Leurs Excellences de Berne en 1745, des nouvelles loges sont fondées à Bex en 1760, à Montreux en 1783, à Morges en 1786, à Vevey en 1790 et à Aubonne en 1798. A Neuchâtel la première loge est fondée en 1743; à Fribourg en 1761 et au Locle en 1774.

En Suisse alémanique une première tentative de fondation de loge a échoué à Berne en 1740, à cause de l’opposition des autorités. La première loge bâloise est fondée en 1744, tandis qu’en 1771 est fondée à Zurich la loge de langue française La Discrétion, qui une année plus tard adoptera l’allemand et prendra le nom de Modestia cum Libertate. A Berne des officiers bernois au service de la France fondent les trois premières loges en 1798. Alors que dans les territoires bernois, comme à Genève, les autorités ont essayé en vain de contrôler la naissance et le développement de la Franc-Maçonnerie, craignant l’influence politique française, en Suisse alémanique elle s’est développée sans entraves dans les deux grandes villes de Zurich et de Bâle, sous une influence allemande plus conservatrice. 

XIXe s.

Pendant l’occupation française et la République Helvétique de nombreux francs-maçons ont joué un rôle politique et social d’avant-garde. Avec la Restauration la Franc-Maçonnerie s’éloigne des tendances réformatrices, se répandant tout particulièrement dans les cantons protestants de Suisse alémanique. Les loges de Zurich et de Bâle se rattachent au Régime Ecossais Rectifié, un système de « hauts grades » à tendance chrétienne très marquée, mettant l’accent sur la pratique d’un christianisme réformé, avec des accents à la fois piétistes et mystiques. Deux représentants typiques de cette orientation de la Franc-Maçonnerie suisse sont le médecin zurichois Diethelm Lavater et le conseiller d’Etat zurichois Johann-Caspar Bluntschli, disciple du mystique panthéiste allemand Rohmer.

En Suisse romande, plus marquée par la proximité de la France, cette aile conservatrice de la Franc-Maçonnerie restera toujours minoritaire et L’Union des Cœurs, à Genève, est la seule loge importante y appartenant. Sous la présidence de l’historien J.-B. G. Galiffe, elle a compté parmi ses membres de nombreux pasteurs, qui ont joué un rôle dans le Réveil protestant. 

La centralisation politique, qui a caractérisé la Suisse au XIXe s. et a donné naissance à la Confédération de 1848, a aussi marqué l’histoire de la Franc-Maçonnerie Après plusieurs tentatives d’union avortées entre 1810 et 1840, la Grande Loge Suisse Alpina est fondée par 14 loges les 22 et 23. 6. 1844. Le zurichois Johann Jakob Hottinger en est le premier Grand Maître et Jonas Furrer, futur premier Président de la Confédération en 1848, le Grand Orateur. L’hostilité de l’Eglise catholique (Pie IX en 1865 et 1873 et Léon XIII en 1884 ont expressément condamné la Franc-Maçonnerie dans leurs encycliques) a poussé les loges sur des positions anticléricales et agnostiques, en favorisant l’admission de nombreux hommes politiques du parti radical démocratique, qui la marqueront de leur empreinte. Une loge genevoise représente bien cette tendance générale de la Franc-Maçonnerie suisse de l’époque, Fidélité et Prudence, qui de 1880 à 1902 a été la loge radicale par excellence. Georges Favon, Charles Page, Alcide Jentzer, les Conseillers d’Etat Alexandre Gavart et Alfred Vincent, le Conseiller fédéral Adrien Lachenal, Président de la Confédération en 1896, en ont fait partie. Dans le Canton Vaud, la loge radicale a été Liberté, fondée en 1871 par le Conseiller fédéral Louis Ruchonnet, président de la Confédération en 1883. 

C’est surtout dans les Cantons catholiques (Fribourg, Saint-Gall, le Tessin, les Grisons) que l’opposition de l’Eglise catholique à la Franc-Maçonnerie a été la plus virulente, en empêchant par tous les moyens la création de nouvelles loges et en combattant celles déjà existantes. Face aux tracasseries du clergé, la loge de Fribourg La Régénérée (fondée en 1851) dut se résoudre en 1885 à vendre son immeuble à une congrégation religieuse. Elle sera même dissoute en 1902 et ne pourra reprendre ses travaux qu’en 1972. Toujours à cause de l’hostilité du clergé catholique, et de l’opposition politique du parti conservateur, la première loge tessinoise, Il Dovere, ne verra le jour à Lugano qu’en 1877, à l’initiative du Consul d’Italie. Elle a d’abord été rattachée au Grand Orient d’Italie et est entrée à l’Alpina en 1884. Dans ce Canton, où la religion catholique a été longtemps religion d’Etat, ce n’est que dans la deuxième moitié du XXe siècle que quatre nouvelles loges pourront être fondées. 

A Genève, pourtant de tradition protestante, l’Eglise catholique a réussi à faire racheter aux créanciers par un prête-nom l’immeuble du Temple Unique. Il avait été construit en 1858 par sept loges sur un terrain cédé gratuitement par l’Etat à Plainpalais, à l’emplacement des anciennes fortifications récemment détruites pour désenclaver la ville. Il a été aussitôt transformé en l’église du Sacré-Cœur. Très engagées politiquement, les loges genevoises débattent dans leurs réunions de problèmes de société, comme le droit au travail, les assurances obligatoires, l’instruction publique, la réforme de l’assistance publique, la législation sur l’enfance abandonnée et la séparation de l’Eglise et de l’Etat, qui sera acceptée en votation populaire en 1907. 

XXe s.

Pendant ce siècle l’histoire de la Franc-Maçonnerie en Suisse est marquée par trois événements majeurs : l’initiative Fonjallaz demandant son interdiction, l’évolution de ses relations internationales et la naissance d’une Franc-Maçonnerie dite « libérale ».

Une proposition de créer une Fédération Maçonnique Internationale avait déjà été faite en 1889 par le Grand Orient de France, mais elle n’a pris forme qu’en 1902, lors du Congrès Maçonnique International de Genève. Le 1. 1. 1903 un Bureau International des relations Maçonniques est institué à Neuchâtel, sous la direction de l’ancien Conseiller d’Etat neuchâtelois Edouard Quartier-La Tente, Grand Maître de l’Alpina de 1900 à 1905. Après une interruption lors de la première guerre mondiale, il reprend ses activités en 1921 sous le nom d’Association Maçonnique Internationale (AMI). En 1923 elle regroupait 500’000 membres, appartenant à 38 Obédiences maçonniques nationales différentes. Née dans la mouvance de la Franc-Maçonnerie agnostique latine du Grand Orient de France, l’AMI a toujours été combattue par la Franc-Maçonnerie théiste anglo-saxonne de la Grande Loge Unie d’Angleterre.

Une initiative fédérale visant à interdire la Franc-Maçonnerie en Suisse, lancée en 1923 par le colonel frontiste Fonjallaz, a été déposée le 10. 12. 1934 munie de 56’238 signatures. Le Conseil Fédéral a nettement pris position contre cette initiative dans un rapport de 43 pages, publié le 4. 9. 1936. Elle a finalement été rejetée en votation populaire le 28. 11. 1937, par 515’000 non contre 235’000 oui. Le canton de Fribourg, où l’influence de l’Eglise catholique était écrasante, est le seul à l’avoir acceptée. En dépit de cette victoire politique, après la seconde guerre mondiale la Franc-Maçonnerie suisse a perdu la moitié de ses effectifs, en tombant d’env. 5’000 membres en 1935 à env. 2’500 en 1945.

Le nouveau contexte mondial voit la Franc-Maçonnerie anglo-saxonne s’opposer de plus en plus ouvertement à la Franc-Maçonnerie latine. Une tentative de trouver une voie médiane entre ces deux tendances, avec la rédaction le 21. 5. 1949 des « Cinq points de Winterthur », qui auraient dû servir de base pour une reconnaissance internationale, échoue face aux pressions exercées par la Grande Loge Unie d’Angleterre. Le Grand Maître de l’Alpina, Albert Natural est obligé à dissoudre l’AMI le 11. 6. 1955, puis à rompre toutes relations avec le Grand Orient de France, que l’Angleterre considère irrégulier parce qu’il n’exige pas de ses membres la croyance en un Dieu créateur et en Sa volonté révélée. Cette rupture est très mal ressentie, surtout en Suisse romande, où les liens avec la France sont nombreux. Des francs-maçons désirant les conserver quittent alors l’Alpina et créent à Lausanne la loge Evolution, dont le nom est un programme. Une deuxième loge est ensuite créée à Lausanne et une troisième à Zurich, et les trois réunies fondent le Grand Orient de Suisse, une Franc-Maçonnerie respectant la liberté de conscience de ses membres, liée au Grand Orient de France. En 1966 les pressions de l’Angleterre obligent l’Alpina à rompre ses relations avec la Grande Loge de France, ce qui provoque le départ d’autres membres, qui créent trois nouvelles loges à Genève et une à Zurich. Réunies aux trois précédentes, ces 7 loges fondent le 21. 6. 1967 la Grande Loge de Suisse. Cette Franc-Maçonnerie dite « libérale », qui en 1996 a repris le nom de Grand Orient de Suisse, compte en 2000 un peu moins de 400 membres, répartis en 14 loges, dont 3 en Suisse alémanique et 11 en Suisse romande. 

De son côté, la Grande Loge Suisse Alpina compte à la même date un peu moins de 4’000 membres, répartis en 79 loges, dont 2 aux Grisons, 5 au Tessin, 28 en Suisse alémanique et 44 en Suisse romande.

La Franc-Maçonnerie s’est aussi ouverte à la mixité, avec l’arrivée en Suisse de l’Ordre Maçonnique Mixte International Le Droit Humain en 1907, qui ne compte plus que 3 loges en 2000, après la scission qui a donné naissance le 8 mai 1999 à la Grande Loge Mixte de Suisse (8 loges en 2000, dont 1 au Tessin, 1 en Suisse alémanique et 6 en Suisse romande, avec env. 100 membres), et de la Grande Loge Suisse du Rite Ancien et Primitif de Memphis-Misraïm en 1962 (3 loges en 2000, 1 masculine, 1 féminine et 1 mixte, toutes à Genève). Une Franc-Maçonnerie exclusivement féminine a vu le jour le 3. 4. 1976, avec la Grande Loge Féminine de Suisse, qui compte en 2000 env. 350 membres pour 14 loges, dont 1 au Tessin, 3 en Suisse alémanique et 10 en Suisse romande.

Bibliographie : Maçonnerie, maçonneries, éd. R. Marx, 1990 ; M. Cugnet, Deux siècles et demi de Franc-maçonnerie en Suisse et dans le Pays de Neuchâtel, 1991 ; A. Bernheim, Les débuts de la Franc-Maçonnerie à Genève et en Suisse, 1994 ; Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e Anniversaire, 1994 ; Groupe de recherche Alpina, Guide du Franc-Maçon, 1998. 

Fabrizio Frigerio
Suprême Commandeur
Sublime Conseil - Grand Chapitre Général Mixte de Belgique
Membre de l'Académie Internationale du Ve Ordre - UMURM

*Cet article est la ré élaboration en français et la mise à jour d’une notice écrite par le même auteur, notice qui a paru en langue allemande dans le Schweizer Lexikon, Mengis & Ziehr Ed., Luzern, 1991-1993, vol. II, p. 738-740, sub voce « Freimaurerei ».
Il aurait dû paraître dans le Dictionnaire Historique de la Suisse, édité par l’Académie Suisse des Sciences Humaines et la Société Générale Suisse d’Histoire, Berne, sous presse, sub voce « Franc-maçonnerie ».
Le rédacteur en chef ayant demandé des modifications et des suppressions que l’auteur ne pouvait accepter, il a été retiré et il a paru modifié sous la signature de la rédaction.

02 octubre 2023

Introducción de "Senda de las Luces Masónicas" (New-York, 1821) del IPH Joseph Cerneau: idéntico encabezamiento del Prefacio del "Régulateur du Maçon" (edición impresa de 1801)

Introducción de "Senda de las Luces Masónicas" (New-York, 1821) del IPH Joseph Cerneau: idéntico encabezamiento del Prefacio del "Régulateur du Maçon" (edición impresa de 1801).

Además el análisis del libro muestra claramente la práctica e instrucciones de los grados simbólicos propios del Rito Francés o Moderno.

Es del todo imprescindible el estudio pormenorizado de los materiales que se dieron en uno y otro continente contrastando sus contenidos filosóficos, rituales, simbólicos y masónológicos organizativos conducentes a unos resultados auténticos fundamentados por un estudio académico serio y racional, con una metodología científica que nos libere de falsas conclusiones fundamentadas en el error y en la mentira, en ocasiones, ignorante o programada.

Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Miembro Honorario del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Gran Oriente Tradicional de Bolivia
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo del Ecuador
Miembro de la International Confederation of Supreme Councils AASR
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado (Rite de Cerneau)

Magna Tenida de Iniciación celebrada en el Templo Pacífico, Ciudad de Marikina, de la Gran Logia del Lejano Oriente.

Magna Tenida de Iniciación: Gran Logia del Lejano Oriente. Islas Filipinas


Magna Tenida de Iniciación de un nuevo Aprendiz Recibido en la Tenida Conjunta de la Logia Masónica No. 2 Francisco Balagtas y la Logia Masónica No. 19 Dr. José P. Rizal celebrada en el Templo Pacífico, Ciudad de Marikina, de la Gran Logia del Lejano Oriente, Islas Filipinas, bajo los auspicios del Supremo Consejo del Grado 33º y Último REAyA de las Islas Filipinas, miembro de la International Confederation of Supreme Councils AASR.

Enhorabuena por este nuevo eslabón a Magna Tenida de Iniciación de un nuevo Aprendiz Recibido en la Tenida Conjunta de la Logia Masónica No. 2 Francisco Balagtas y la Logia Masónica No. 19 Dr. José P. Rizal celebrada en el Templo Pacífico, Ciudad de Marikina, de la Gran Logia del Lejano Oriente, Islas Filipinas, bajo los auspicios del Supremo Consejo del Grado 33º y Último REAyA de las Islas Filipinas, miembro de la International Confederation of Supreme Councils AASR. Enhorabuena por este nuevo eslabón a nuestra Cadena de Unión.
Enhorabuena por este nuevo eslabón a Magna Tenida de Iniciación de un nuevo Aprendiz Recibido en la Tenida Conjunta de la Logia Masónica No. 2 Francisco Balagtas y la Logia Masónica No. 19 Dr. José P. Rizal celebrada en el Templo Pacífico, Ciudad de Marikina, de la Gran Logia del Lejano Oriente, Islas Filipinas, bajo los auspicios del Supremo Consejo del Grado 33º y Último REAyA de las Islas Filipinas, miembro de la International Confederation of Supreme Councils AASR. Enhorabuena por este nuevo eslabón a nuestra Cadena de Unión.

Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Miembro del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario del Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz de Portugal - Gran Capítulo General del Rito Moderno y Francés de Portugal
Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Gran Canciller para Europa del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Miembro de Honor de la Gran Oriente Tradicional de Bolivia
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado (Rite de Cerneau).
Miembro de la International Confederation of Supreme Councils, AASR

21 septiembre 2023

Gran Oriente Nacional Colombiano - Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino


Gran Oriente Nacional Colombiano

Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino

 

Información del DECRETO N.º 8 del 21 de septiembre de 2023 E.·. V.·.

Reunido el Consejo de la Orden de nuestra Histórica Potencia Masónica el 21 de septiembre de 2023 E.·. V.·., y con la finalidad de recuperar el rico legado histórico y masónico de nuestros Valles y Orientes, nuestra Obediencia ratifica su denominación de “Gran Oriente Nacional Colombiano-Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino” siguiendo el ideario original que dio origen a la Potencia Masónica instalada el 21 de Abril de 1824 que regía masónicamente a la República de la Gran Colombia, cuya capital era Bogotá, con Patentes recibidas a tal efecto por el “Supremo Consejo de los Estados Unidos de América”, con sede en Nueva York, siendo comisionado por el mismo para la fundación del "Gran Oriente Nacional Colombiano" y del “Supremo Consejo Nacional Colombiano del Grado 33” el Muy Ilustre Hermano Joseph Cerneau.

Tras la fragmentación de la Gran Colombia, dicho legado e ideario fue proseguido por el “Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino” con sede en Cartagena, fundado el día 19 del 4º mes del año de la Verdadera Luz, 5833, (19 de junio de 1833 E. V.)


La Republica de Colombia para la fecha en que el Gran Oriente de Francia (1851) otorgo la Carta Patente al “Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino”, tenía el nombre de “República de la Nueva Granada” , adjudicándole los derechos, privilegios y prerrogativas sobre el Territorio Masónico de la República de la Nueva Granada, del extinto Supremo Consejo del Grado 33° para Colombia con sede en Caracas (antigua República de la Gran Colombia).

Hace pocos años atrás, coherentemente con su historia inicial y con su origen primigenio vinculado al “Rito Escocés Antiguo y Aceptado” nacido por la Instalación delegada por el MPSGC John W. Malligan al IPH Joseph Cerneau de un "Supremo Consejo Nacional Colombiano del Grado 33°"
(consultable en la Bibliothèque Nationale de France, Département des Manuscrits FM1 (1)-FM1 (541). Archives Centrales), tanto por la legitimidad y regularidad de origen de su Carta Constitutiva, fue concedida una Patente del "Supremo Consejo del Grado 33° para España del Rito Antiguo y Aceptado", a tal efecto en línea de filiación del Supremo Consejo original de Joseph Cerneau en Nueva York "Supreme Council for The United States of America, their Territories and Dependencies", reconocida desde 1816 por el “Gran Consistorio de Ritos”, presidido por el Muy Poderoso Soberano Gran Comendador Germain Hacquet del “Supremo Consejo del Gran Oriente de Francia”.

El 20 de febrero de 1939, el Supremo Consejo Neogranadino cambia su nombre por el de «Supremo Consejo del Grado 33° para Colombia», convirtiéndose desde el punto de vista legal en otro ente jurídico ante las autoridades colombianas, siendo además reconocido por el Supremo Consejo de la Jurisdicción del Sur de los Estados Unidos de América. Esta irregularidad de reconocimiento y naturaleza iniciática llega a su culmen en la década de los ochenta, cuando Supremo Consejo del Sur de los EE. UU., desconoce al Supremo Consejo del Grado 33° para Colombia como consecuencia de la gran división que se presentó en Colombia por la intromisión de este Supremo Consejo en los asuntos de las Grandes Logias, olvidando de forma grotesca al Gran Oriente de Francia quien le expidió la Carta Patente, y se afilia al Supremo Consejo de Francia. Error brutal que deja sin legitimidad alguna a los múltiples auto denominados Supremos Consejos Neogranadinos, sumidos en un caos histórico y conceptual que precisaba una lógica y legítima resolución.

Esta decidida fase supone en primer lugar un mayor enriquecimiento en la solidez histórica, masónica y ritual, así como una clara diferenciación con posibles cuerpos divergentes que han pretendido confundir y suplantar nuestra incansable trayectoria de trabajo en pos de una Humanidad más Justa, Igualitaria y Solidaria.

El Gran Oriente Nacional Colombiano / Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino, siendo un solo Cuerpo de Naturaleza Regular fruto de una fluida continuidad histórica e iniciática, es miembro activo y reconocido por la International Confederation of Supreme Councils AASR que integra a los más prestigiosos Supremos Consejos del 33º y Último Grado del REAA caracterizados por su calidad ética, masónica, ritual, filantrópica y formativa. También es ahí donde la grandeza del Gran Oriente del Perú presidido por su MPSGC Mario Rolleri, 33º reconoce la realidad histórica y expresa su agradecimiento, reafirmación y ejerce justicia mediante la concesión de una:

Patente Regular del Supremo Consejo de GG:.II:.GG:. Grado 33° del R:.E:.A:.A:. del Gran Oriente del Perú

Según carta patente otorgada por el Gran Oriente de Francia el 17 de setiembre de 1875 al supremo Consejo de GG.·.II.·.GG.·. Grado 33 del R.·.E.·.A.·.A.·. del Gran Oriente del Perú, depositarios naturales del ideario primigenio, que dio origen a la potencia masónica fundada el 23 de enero de 1831 en la República del Perú , bajo el nombre de Gran Logia del Perú , cambiando su denominación el 11 de agosto de 1831 a gran Oriente del Perú con Carta Patente otorgada por el Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino fundado el día 19 del 4º mes del año de la Verdadera Luz, 5833, (19 de junio de 1833 E. V.) y Carta Patente otorgada por el Gran Oriente de Francia el 14 de Agosto de 1851.

Según demanda recibida, y habiéndose verificado la legitimidad de su filiación Iniciática la cual los hacen sus legítimos herederos; y, con la finalidad de establecer, como en efecto queda establecido, un Supremo Consejo legítimo y regularmente constituido, hemos acordado solemnemente expedir, y como tal se expide la presente:

Carta Patente

con el distintivo de

Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino

Con la finalidad de restablecer la estructura original, legado histórico y masónico de la obediencia homónima denominada “Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino”, fundado el día 19 del 4º mes del año de la Verdadera Luz, 5833, (19 de junio de 1833 E. V.) y Carta Patente otorgada por el Gran Oriente de Francia el 14 de Agosto de 1851, con sede en Cartagena de Indias.

Revisada y aprobada la referida solicitud y por los poderes de que nos hallamos investidos, otorgamos esta Carta Patente a los II.·. y PP.·. HH.·. cuyo Santo Imperio lo preside el M.·. P.·. Sob.·. Gran Comendador Milciades Osorio Díaz, Grado 33º, para que pueda admitir a Ilustres Masones y conferir todos los Grados Capitulares y Filosóficos del Rito Escocés Antiguo y Aceptado, celebrando sus tenidas de acuerdo a sus EE.·.GG.·. así como a nuestros usos y costumbres conocidos.

Zenith de Lima, Perú, 06 de enero de 2022 e:.v..; 6022 A:.D:.L..V:.L:.


Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario del Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz de Portugal - Gran Capítulo General del Rito Moderno y Francés de Portugal
Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Gran Canciller para Europa del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo de la República del Ecuador
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Miembro del Suprême Conseil du 33e Degré pour la France du Rite Ancien et Accepté (Cerneau's Rite)
Pasado Presidente de la Confederación Internacional de Supremos Consejos del Grado 33º del R.·. E.·. A.·. A.·.
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado (Rite de Cerneau)
Gran Comendador del Soberano Gran Consejo de los Príncipes del Real Secreto para España, Rito de Perfección.

19 septiembre 2023

Vídeo de la conferencia del Prof. Joaquim Villalta impartida el 3 de septiembre de 2022 para la Cátedra Giordano Bruno.

Video de la Conferencia dictada por el Prof. Joaquim Villalta en la Cátedra Giordano Bruno el 3 de septiembre de 2022, con el tema:


"Las Órdenes de Sabiduría de Matriz Portuguesa: implantación en Sudamérica del Rito Francés de los Modernos".

https://youtu.be/KWosMNt0ZS4

 

31 agosto 2023

Omega: la Constante Dual

 En determinadas ocasiones, la “contemplación” de ciertas expresiones o ecuaciones de tipo físico y matemático han ejercido en mi interior un indiscutible efecto simbólico. Éstas, por sí mismas, han supuesto para mí una base de meditación a partir de la cual he procurado encontrar una vía conducente en busca de determinados conocimientos de cariz más trascendente e, incluso, esotéricos. Este intento de hallazgo de la “verdad” latente en mi interior debo hacerla mediante la obligada utilización de dos de las “Grandes Luces”: La Escuadra y el Compás. Será pues la aplicación de la norma y del juicio justo en la apreciación adecuada de las cosas dentro del campo material haciendo uso de la Razón, lo que, en combinación del correcto entendimiento de mi facultad comprensiva espiritual, podrá en todo caso, llevarme a la Gnosis, y por lo tanto, a la Realidad.
¿Y cual es la punta de este Compás? 
Para mí, sin duda, el G.·. A.·. D.·. U.·., aun cuando vaya por delante mi indiscutible respeto hacia todas las tendencias de opinión y diferentes creencias sobre el mismo.

Apelo de antemano a vuestra paciencia por la extensión de esta introducción o prefacio, pero se hace indispensable si lo que pretendo es mostraros mi visión sobre las respuestas a las preguntas “¿de dónde vengo?” y, en especial, “¿quien soy?”. 

Mi primera “gran experiencia” de reflexión existencial y, por qué no decirlo así, Cósmica” fue el estudio de la Relatividad Especial de Albert Einstein y su final explicitación (muy simple, por cierto).

En el procedimiento constructivo de este trabajo, dónde pretendo comunicar desde el mi interior más sutil, me he propuesto no caer en la tentación de hacer grandes muestras de erudición, que incluso podrían resultar presuntuosas y del todo evitables. Me dispongo ya a entrar en materia, y desarrollar el sujeto- análisis, de la segunda expresión de tipo matemático que, empleando las herramientas del conocimiento francmasónico que hasta ahora he tenido la fortuna de tener a mi alcance, ha enriquecido mi espíritu y reforzado los argumentos de las respuestas de las dos grandes interrogantes planteadas anteriormente.

El estudio de la Proporción Áurea, y su manifestación dentro la naturaleza, supone un elemento de búsqueda que sólo puede definirse como “fascinante”. Definimos sección áurea como la división armónica de un segmento en media y extrema razón. Es decir, que el segmento menor es al segmento mayor, como éste es a la totalidad. De este modo se establece una relación de medidas con la misma proporcionalidad entre el todo dividido en mayor y menor. Esta proporción o forma de seleccionar proporcionalmente una línea se denomina proporción áurea. Por citar un ejemplo geométrico, la relación entre la diagonal del pentágono y su lado es el número d’oro: F.

Según la tradición, el símbolo representativo del conocimiento de la Escuela Pitagórica era el Pentagrama, también utilizado al final de sus escritos a modo de saludo. Haciendo referencia al personaje de Pitágoras (580-500 a.C.), apuntaremos que viajó por Egipto, Babilonia y posiblemente, la India, países dónde adquirió gran parte de su formación matemática y filosófica. Contemporáneo de Buda, Confucio y Lao Tse, estuvo muy influenciado por el misticismo religioso. Los pitagóricos aconsejaban la obediencia y el silencio, la abstinencia de consumir determinados alimentos, la sencillez en el vestir y en las pertenencias, así como el hábito del autoanálisis. Creían en la inmortalidad y en la transmigración del alma. Entre las amplías investigaciones matemáticas realizadas por los pitagóricos, encontramos los estudios de los números pares e impares, así como de los primos. Desde este punto de vista aritmético, cultivaron el concepto de número, que representó el principio crucial de toda proporción, orden y armonía del universo. El mundo, pues, estaba configurado según una estructura numérica, dónde solamente tenían cabida los números fraccionarios y enteros. Indiscutiblemente, mediante sus estudios, establecieron la base científica para las matemáticas. 
Casualmente, la grandeza sublime del Teorema de Pitágoras y la mágica belleza del Pentagrama místico fueran dos caballos de Troya para la Geometría griega, porque traían en su interior la semilla de la profunda crisis de la escuela pitagórica de donde surgieron. Las consecuencias de su Teorema atentan contra sus fundamentos doctrinales, que los había llevado a establecer un paralelismo entre el concepto numérico y la representación geométrica. En efecto, el cuadrado que es una de las figuras geométricas más simples, proporciona un terrible ente: la diagonal, que no es conmensurable con el lado. Lo mismo sucede entre la diagonal y el lado del pentágono. 
La creencia de que los números lo podían medir todo, era una ilusión. Quedaba eliminada de la Geometría la posibilidad de medir siempre con exactitud. Se había descubierto la magnitud inconmensurable, el número irracional –no expresable mediante razones–, «el alogon», que provocaría una crisis sin precedentes en la Historia de la Matemática. Esta sacudida dentro la Matemática griega puede palparse leyendo la leyenda apocalíptica atribuida a Procolo, que se relata en una parte del Libro X de Los “Elementos” de Euclides: «Se sabe que el primero en dar al dominio público la teoría de los irracionales, moriría en un naufragio, y fue así porque lo inexpresable e inimaginable debería siempre haber permanecido oculto. En consecuencia, el culpable, que fortuitamente tocó y reveló este aspecto de las cosas vivientes, fue trasladado a su lugar de origen, dónde es flagelado perpetuamente por las olas.»
                                                      F  
es mágicamente irracional.

Resulta fascinante ver cono en la naturaleza, aparece la proporción áurea en aspectos tan diversos como el crecimiento de las plantas, las piñas, en la distribución de las hojas en un tallo, las dimensiones de los insectos y pájaros, proporciones del cuerpo humano, en la formación de los caracoles o en determinadas aplicaciones de la sucesión de Fibonacci para el cálculo de la reproducción animal; por citar algunos ejemplos. F también ha estado presente en el campo del arte y de la construcción: el alzado del Partenón griego, o la Gran Pirámide de Keops, podrían ser unas de las muchas muestras desde épocas remotas.

Aunque no creo necesario desarrollar el proceso de obtención de este valor mediante una simple ecuación de segundo grado (numéricamente aproximado a 1,6180) he pensado que sí lo seria la explicación de su génesis en tanto a las posteriores valoraciones simbólicas que de este pasaré a describir. Se hace, no obstante, indispensable, desarrollar adecuadamente la expresión de F:

2F-1=Ö5
1=2F-Ö5
de donde
1=4Fq+5-4FÖ5           (Nota: q = elevado al cuadrado)
por lo tanto
1=5+4F(F-Ö5)
es decir
1=5+4(Fq-FÖ5)
El valor (Fq-FÖ5) es una constante que a la vez incorpora el número de oro. 
Me he tomado la libertad de denominarla W, la Constante “Dual”. Finalmente, la igualdad resultante queda así

1=5+4W

Es la visualización de esta expresión la que me genera una íntima revelación e interpretación simbólica. Puede considerarse elucubrativa, y en efecto lo es, pues resulta del fruto de la meditación, reflexión, trabajo intelectual y de un profundo convencimiento “intuitivo” que escapa de la posible argumentación convencional y que desearía fuera efecto de la Luz de mi Ser espiritual. Gráficamente podríamos también plasmarlo cómo

O = Pentagrama + W

Mi lectura, tanto numerológica como gráficamente, me aporta lo siguiente: El 1, o círculo (entendiendo el punto como círculo de radio infinitesimal y con potencial expansivo o contractivo), centro generador universal, se manifiesta (o mejor dicho, contiene) al hombre, representado por el Pentagrama. Como tal, y con la misma naturaleza del Todo, es un microcosmos en sí mismo donde está latente la Luz y Energía originales, y su deber es reactivar estas calidades potenciales que permanecen dormidas y en letargo. Reafirmando esta acepción, seria el portador hereditario de la quintaesencia donante de vida e inteligencia de la cual el G.·. A.·. D.·. U.·. es su origen.
A su lado, el cuatro, el cuadrado, el reino de la apariencia sensible, de la naturaleza y del mundo dimensional donde desarrollamos nuestra experiencia corporal y material. Este espacio visible, no obstante, está íntimamente influido por W (generada a su vez por F).
¿Pero, cual es el valor de W?
Como sospechaba filosóficamente, que no matemáticamente, es –1. W me demuestra la incidencia en el plano material de lo dual, lo aparente, lo ficticio, lo opuesto.

En resumen:

Yo como hombre, generado y conteniendo la naturaleza del G.·. A.·. D.·. U.·., transito en una realidad aparente que viene regulada por unos parámetros no casuales y que se rige por unas leyes de orden (por más complicadas que puedan aparecer). Mi obligación es despertar del “sueño profano” y “reencontrar” la Verdad Original, así como colaborar en que otros así también lo hagan dentro de un entorno material de máxima paz, armonía y bondad. Aquí están mis respuestas sobre “¿de dónde vengo?” y “¿quien soy?”. Queda todavía una tercera que, cuando sea el momento adecuado y esté preparado, intentaré encontrar: “¿dónde voy?”. Pero... todo a su debido tiempo.

Anexo a la Plancha sobre Omega

  
1) Obtención de F:

Sea L un segmento tal que
L= a + b
donde se dé la siguiente proporción
Fa = b
Fb = L
por tanto
Fb = a + b
Fb = (b/F) + b
generando la ecuación de segundo grado  (q = elevado al cuadrado)
(Fq)b =b + Fb
Fq - F - 1 = 0
Su solución positiva resultante es
                                                     F  =
Nota: tomar la solución negativa podría dar pié a un estudio simbólico que pienso interesante para tratar en otra ocasión.

Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario del Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz de Portugal - Gran Capítulo General del Rito Moderno y Francés de Portugal
Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Gran Canciller para Europa del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Gran Oriente Tradicional de Bolivia
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo de la República del Ecuador
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Miembro del Suprême Conseil du 33e Degré pour la France du Rite Ancien et Accepté (Cerneau's Rite)
Miembro de la Confederación Internacional de Supremos Consejos del Grado 33º del R.·. E.·. A.·. A.·.
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado